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 Valeska Ghica

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Wild Bird
Wild Bird
Spirit

you're the fire and the flood

situation : Marié à Eoin Macken
activité : Pilote de chasse
quartier : Dublin, Irelande
avatar : Segovia Amil
pseudo : Little Wildling
crédit : WB + tumblr
mes têtes : we are many


MessageSujet: Valeska Ghica   Valeska Ghica EmptyDim 21 Mai - 19:02


   
   
   
   
   
   
   

The planet is fine. The people are fucked.
Shaera

Al Delkhalek
Identité
Nom :Al Delkhalek. Je sais bien que je n'ai pas besoin de vous donnez plus d'informations pour que vous sachiez qui je suis, non? Al Delkhalek, Famille Royale de Dubaï et toute puissante.  Prénom(s) :Shaera, un prénom rare mais qui a dû caractère. Autant vous dire que cela me décrit très bien. Fanore, mon second prénom, mais très peu utilisé. Surnom(s) :Shae, le seul que j'accepte. Age :26 ans. Date et lieu de naissance :Perth en Australie, le 9 Août 1992. Je suis née dans le pays natal de ma mère. Origines :Anglaise de part ma mère et Arabe de part mon très chère père. Un jolie mélange si vous voulez mon avis... Qu'est-ce que je dis, bien sûr que vous le voulez, cela va de soit. Etat civil :Célibataire, il n'est pas encore né le jour où on me mettra de force la bague au doigt. Orientation sexuelle : Hétéro, bien que jouer à touche-touche avec une fille une fois de temps en temps, c'est pas mal. Je vous recommande de tester avec le sexe inverse juste une fois dans votre vie. Préférence sexuelle : J'aime dominer un homme, sentir mes ongles s'ancrer dans sa peau, alors que je le conduis, mais un peu de soumission, ça ne fait pas de mal. Du moins, tant que mon partenaire sait ce qu'il fait. Qualités :Sociale, chaleureuse, marrante, charmeuse, ardente, imaginative, infatigable, créative et débrouillarde. Défauts :Capricieuse, garce, sarcastique, sadique, pessimiste, impudique, colérique, grossière, moqueuse, chieuse pure souche, désorganisée, paresseuse, rancunière, dépressive et fêtarde Statut au sein de l'harem :Cousine des maitres de ces lieux. Métier/occupation :Un diplôme de stylisme en poche, j'ai ma propre marque qui a vu le jour, il y a quatre ans de cela. Bien qu'on m'ait refilé deux idiots dans les pattes pour garder un œil sur mes créations, j'ai depuis peu eu la chance de mettre Tweedledee et Tweedledum à la porte, une fois mon diplôme en poche. Célébrité :Alexandra Park.
je suis un(e)

Famille Royale
Caractère & Physique
J'ai un caractère de merde. Je ne m'en cache pas au moins, je ne joue pas, ne prétends pas être quelqu'un d'autre que ce que je suis vraiment. Une chieuse pure souche, qui profite de la vie comme elle le peut, avant de finir entre 4 morceaux de bois. Ce qui veut dire, que je marcherais sur quiconque ose se mettre en travers de mon chemin. Je suis une Al Delkhalek et fière de l'être, entendre quelqu'un dévaloriser mon héritage à tendance à me mettre hors de moi et cela rend ma colère encore plus terrible.

J'aime penser qu'il reste encore de bonnes âmes dans ce monde, que les humains ne sont pas tous foutu et narcissique. Alors je me socialise, je chercher ses perles rares et si parfois, je tombe sur de mauvaises personnes, j'arrive tout de même à trouver certaines âmes qui en valent la peine. Votre réseau d'amis reflète en partie qui vous êtes au fond et si vous êtes entouré de bonnes personnes, cela ne veut-il pas dire que vous en êtes une par la même occasion ? Je ne cherche pas pour autant à avoir tout un squad, les bons amis sont aussi rare que le bon vin. Rancunière comme je suis, il m'est bien entendu impossible de donner une chance ou d'accord à nouveau ma confiance à une personne qui m'a bafouée. Et en général, ça finit par une petite vengeance, douce, mais qui tape dans l'orgueil.

J'ai cette grande imagination, le genre qui me permet d'évoluer pleinement dans mon travail, en me donnant diverses idées de tenues. Cela me réveille en pleine nuit en faisant naître une image dans ma tête. Mais si en apparence cette qualité est génial, il n'empêche qu'elle se joue souvent de moi, dans état de crise ou d'angoisse. Elle se joint à ma paranoïa et me fait imaginer mille et une scènes horribles. Ça va parfois loin, très loin.

Dépressive depuis des années, je me soigne à coup de pilules, de vins et de cigarettes. Un mélange qui est loin d'être des meilleurs, mais jusqu'à présent, cela m'a toujours aidé à remonter la pente. Cela peut me prendre du jour au lendemain et rendre mes idées plus noirs et plus morbide qu'un film d'horreur de série B. J'évite le monde, je me fais oublier enfin, quand je ne pète pas un câble pour une connerie ou quand on ne veut pas me lâcher la grappe.

"Et tu embrasses ta mère avec cette bouche?!" Question souvent posée, quand j'en surprends plus d'un avec mon vocabulaire. Je ne mâche pas mes mots, je ne les enjolive pas non plus, je dis ce que je pense. Rien à faire si cela ne plaît pas. J'en fais exclamer plus d'un quand je me balade avec presque rien sur le dos. Impudique dirons-nous, je n'ai rien à cacher, enfin physiquement parlant.

J'ai appris à toujours gagner l'objet de mes désirs, que ce soit d'une manière douce en utilisant mon charme où jouant la fille hyper bornée qui ne prend jamais "non" comme réponse. Oui celle qui petite tapait du pied pour se faire entendre et qui maintenant n'hésite pas à jouer les tornades en dévastant tout sur son passage.

Je suis la pire organisatrice du monde, mon bureau est un champs de bataille joncher de croquis et tissus en tout genre, une pile par là, une pile par ci. Je ne parle même pas de ma chambre, mais bon pour ça, il y a les employés, non ? Enfin, ils ont interdiction de toucher à quoi que ce soit dans mon bureau, parce que même si c'est le merdier là-dedans, je sais au moins où est quoi.

Au lit, je ne suis pas chienne, je suis leader. D'ailleurs, je hais ce stéréotype qu'une femme se doit d'être chienne au lit. La femme embrasse sa sexualité comme elle le sent, cela ne la rend pas pour autant aussi perverse qu'un homme.

Alors, est-ce que tu commences à m'apprécier ou au contraire détestes-tu ma façon de penser ? Bien que ton point de vue sur ma personnalité ne m'intéresse guerre... Est-ce que je te répugne ? Est-ce que je te fais marrer ? Je commence à me demander si tu en vaux la peine en fait. Alors, je vais finir par te donner deux trois détails sur mon physique et ensuite, tu iras voir ailleurs si j'y suis.

Voilà, j'en ai terminé avec mon caractère et non, non, il n'y aura pas d'autres questions. J'ai pas que ça à foutre moi, j'ai une bouteille de champagne qui m'attend, ainsi qu'un esclave - qui a entre vous et moi, à un cul d'enfer.  
Physique
Taille : 1m75.  Je ne suis pas immense, bien que mes 1m75 me permettent de regarder un homme très facilement droit dans les yeux, du moins, la plupart du temps. Poids : 58 kilos. Je suis svelte et je l'ai toujours été mais, je suis pourtant un estomac sur pattes quand il est question de nourriture.Yeux : Ils sont d'un noisette, souvent ornés d'une lueur pétillante. Cheveux : Les cheveux d'un brun foncé, les mêmes que ma grand-mère maternelle de ce que j'ai pu voir sur les photos. À ce qui paraît, je ressemble plus à mon père qu'à ma propre mère, il n'empêche que j'aie son nez. Particularités : Pas de tatouage, ni de piercings, mais quelques cicatrices dont une à la gorge, un petit cadeau d'un assassin envoyé par un ennemie de mon père.
Petites Infos
J'ai appris à tirer avec une arme avec mon premier garde, quand j'avais dix ans. Ce n'est pas devenu une passion, mais étrangement, je suis plutôt douée. Hors personne n'a confiance en moi quand il me voit une arme à la main...

J'ai faillis perdre la vie, alors que je n'avais que six ans. Un ennemie de mon père avait envoyé un de ses hommes pour me tuer. Heureusement pour moi, j'avais un garde dévouer à ma sécurité. J'en garde des cauchemars et une cicatrice sur le côté droit de ma gorge.

Je parle couramment l'anglais, l'arabe et le français. Ce qui me permet de jurer de bien des  façons... Il faut dire que j'ai voyagé un peu partout depuis mon enfance, surtout à New York et Milan pour les défilés. D'ailleurs ma marque a eu son proche show dans ses deux grandes villes.

Je suis atteinte de dépression, un petit cadeau du côté de ma famille maternelle. Quand les trois fées se sont penchées sur mon berceau, elles se sont sûrement dit " Tu seras belle et créative, mais aussi dépressive!".

Propriétaire d'un chien depuis déjà quelques années. On est loin du chiwawa format mouchoir de poche, Maïka est un berger australien croisé dingo. Bien que c'était un cadeau, celui-ci à été formé pour me protéger. Il aime particulièrement mordre les entre-jambes des messieurs bien trop collants.
Derrière l'écran
Pseudo: Midnight's warmth. Âge: Joker. Avez-vous des préliens?: Non. Comment êtes-vous arrivé ici?: Je le squatte depuis plus d'un an. Votre première impression: Je l'aime ♥ Confirmez votre majorité : Oui, je suis vieille. Réserver votre avatar? :yup. Code du règlement : Ok by mee. Un dernier mot: Fudge.
Code:
[color=#0000ff]✘[/color]<b> Alexandra Park </b> — <i>Shaera Al Delkhalek</i>

   


Dernière édition par Wild Bird le Mar 14 Avr - 19:29, édité 23 fois
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MessageSujet: Re: Valeska Ghica   Valeska Ghica EmptyDim 21 Mai - 19:02


   

   

   
   


Le harem et vous
Quel est votre point de vue sur le harem? Ah ce harem, c'est bien l'un des seuls endroits où je me sens chez moi. J'y ai ma place, mes propres quartiers, mes petites habitudes. Je ne dirais pas que j'ai l'habitude de me retrouver entourée d'esclaves et de voir des gens prendre leurs pieds en publique, mais au moins ici, tout le monde montre son vrai visage.

Ce sont mes cousins qui m'ont convier à venir voir de mes propres yeux leur petit paradis et c'est après avoir passé deux semaines que j'ai décidé de m'y installer. L'une de mes meilleures décisions de ma vie.

Dans la famille, chacun fait sa vie. Je ne connais que très peu "les maîtres de ce lieu", mais je les admire pour avoir eu l'idée de ce harem. J'avoue que je suis assez curieuse de cette histoire de jumeau.

Pour ce qui est des autres habitants, je dois avouer être assez mitigé, parce que bien que certains soient assez sympa, d'autres me laissent sceptique. Nous sommes tous pervers, mais à certains niveaux cela en est effrayant. Pour ce qui est des esclaves, je ne suis pas du genre à montrer ma supériorité. La plupart savent leur place et cela donne une ambiance plutôt cordiale entre nous. Mais, si certains deviennent irrespectueux, je n'hésite pas à remettre les points sur les "i".

La race humaine est mauvaise, elle tue et s'autodétruit. Alors oui, peut-être que la vie de ses martyrs est parfois injuste, mais c'est la vie, la réalité. Faut faire avec et c'est tout. Alors non, je ne sens pas de l'injustice en voyant un homme fouetter son esclave, je m'occupe de ma vie à la place.
bdsm

& Co
Dominance et soumission, on retrouve cela partout tant bien dans notre vie professionnelle que personnelle. Bondage et discipline, ça s'apprend, mais cela ne veut pas dire que tout le monde est doué pour cet art. Je ne l'ai pas étudié comme d'autres ont sûrement dû, mais j'ai appris certaines techniques grâce à de bonnes rencontres et certains livres. J'aime jouer les dominantes, comme j'aime me soumettre, mais à certaines conditions. Laisser un homme me montrer de quoi il est capable, qu'il est un alpha.
je suis

intermédiaire
j'aime la

Dominance & soumission


Votre histoire

Les Alpes, France. 1997
Cela m'a réveillé en plein milieu de la nuit. Pourtant, c'était un bruit sourd, tel le son d'un objet lourd qui tombe sur un tapis. Surprenant, quand on sait que je dors comme une marmotte en pleine nuit d'orage. Peut-être était-ce mon sixième sens, si cela existe vraiment ou un coup de chance, un putain de coup de chance. Mon corps ne demandait qu'à rester sous les couvertures douces et chaudes, mais pourtant, pourtant, je m'étais levée, tout comme les poils sur mes bras au contact de mes pieds contre le sol froid. Quelle idée de passer la fin de l'année dans les Alpes ! Cela aurait été tout aussi bien en Australie, mais non mes parents avaient choisit la France et son climat tempéré. J'avais détesté la neige dès les premiers contacts des flocons sur mon visage.

Je pouvais entendre les ronflements constants et imperturbables de mon père de l'autre côté de la pièce. Comment ma mère pouvait dormir avec ses bruits étaient pour moi digne d'un mystère. Me connaissant, l'envie de l'étouffer avec son oreiller m'aurait traversé l'esprit et peut-être même poussé à l'acte, sous la folie. À part ce bruit des plus détestables, le chalet était silencieux, trop silencieux.

Mes petits pas normalement si faibles me paraissaient si lourd contre le parquet en bois et ma respiration bien trop forte. C'était la peur sûrement, cette même peur qui en temps normal vous pétrifie au lieu de vous pousser à avance vers le danger. Après tout, toutes les gamines de six ans fuient et se mettent à pleurer quand quelque chose les effraie, mais encore, je n'étais pas comme elles. À six ans, je me battais avec qui conque me cherchait des noises, À vrai dire, faire pleurer les garçons était un de mes hobbies favoris.

Alors, je m'étais avancé, j'avais un pied devant l'autre, jusqu'à atteindre la porte de ma chambre. Je l'ouvris sans attendre, mais je restais immobile et silencieuse, à l'écoute du moindre bruit. Rien, aucun son étrange, aucune ombre mystérieuse, rien. La lumière de ma lampe de chevet éclairait légèrement le couloir, juste assez pour me guider et éviter de me cogner. Nous venions tout juste d'arriver en France et la maison ne m'était donc pas assez familière pour que je puisse marcher dans le noir. J'étais à peine entrée dans le salon, quand l'écho d'un nouveau bruit arriva jusqu'à moi. Je restais immobile sur place, le temps que mes yeux s'adaptent à l'obscurité. Sauf que j'avais mis trop de temps et quand un nouveau bruit se fit entendre juste derrière moi, c'était déjà trop tard. La lame du couteau était si froide comparer à sa main gantée contre ma bouche. Une gamine aurait déjà tenté de crier, tout en tentant de se débattre avec ses petits points. Sauf que comparé à elle, j'avais un garde du corps qui m'avait appris ce qu'il fallait faire dans ce genre de situation. Ne croyez pas que pour autant, je n'étais pas effrayée. Je pense que si je n'avais pas été aux toilettes, avant d'aller me coucher, il y aurait déjà eu une flaque autour de mes pieds.

Je l'avais mordu, alors que les premières gouttes de sang avaient coulé, mettant toute ma force dans les muscles de ma mâchoire pour encore plus de dégât. C'est lui qui a foutu sa mission en l'air, en criant et en me jetant à terre pour défaire sa main de mes petites dents pointues. Et, c'est là que Callahan est arrivé et c'était bien la première fois que je ne le voyais pas dans son uniforme. À peine entré dans le salon, qu'il tira sans aucun problème et d'une précision affligeante en pleine tête. J'aime mon paternel, mais Callahan m'apportait le confort et l'assurance que mon père ne me donnait pas. Callahan ne me traitait pas comme une gamine, ni comme une princesse. Il m'a « élevé » pour être une femme forte qui n'a besoin de personne pour se défendre.

Perth, Australie. 2006
« Et si nous commencions ? » Me lança-t-elle depuis son fauteuil, tout en remontant ses lunettes au-dessus de son nez. Parler, pourquoi devrais-je parler ? C'était la dernière chose que je voulais faire. Parler pour dire quoi ? Que je ne l'avais pas fait exprès ? Foutaise, bien entendu que je l'avais voulu. Expliquer que je vais mal, que je me sens foutue ? Pas besoin de l'expliquer, il suffisait de voir ma tête pour le comprendre. « Je n'ai pas envie de parler. » Lançais-je sèchement, tout en triturant un pompon du coussin que je tenais contre moi. « Shaera, il... » Pas le temps de lui laisser dire le dernier bout de sa stupide phrase que, je la remettais droit à sa place. « Ne m’appelez pas Shaera, on n'a pas élevé les cochons ensemble à ce que je sache. Pour vous, c'est Princesse. » Mais pour qui elle se prenait celle-là ? « Excusez-moi, Princesse. J'essaie juste de comprendre ce qu vous a poussé à... » « A quoi ? À vouloir me suicider ? » Voilà, à cause d'elle, je venais de le dire à haute voix. « Il vous faut me parler, sinon, vous ne vous en sortirez pas. » Me lança-t-elle depuis son fauteuil, tout en remontant ses lunettes au-dessus de son nez.  « J'ai dit que je ne voulais pas. » Mais elle va finir par comprendre à la fin celle-là ! Je la regardais garder son cool et respirer profondément. Ses lunettes glissèrent à nouveau et mécaniquement, elle les releva. « Très bien, nous ne sommes pas obligées de parler, on peut faire autre chose, que voudriez vous faire ? » « Clairement ? » Lui demandais-je, tout en la regardant de haut en bas. « Oui, allez-y. » Me poussa cette idiote de psy, un sourire aux lèvres. « J'aimerais vous enlever ses guenilles que vous appelez costume de travail mi-coton mi-polyester et leur foutre le feu. J'espère vraiment qu'avec l'argent que vous allez vous faire grâce à moi, vous comptez refaire votre garde-robe. Je suis même prête à vous payer moi-même, juste pour être sûr qu'au prochain rendez-vous, vous ne m'affligerez pas de vous regarder dans cette ignoble tenue. »

New York, États Unis d'Amérique. 2015
«Ow!» S'exclama mon mannequin/plan cul du moment, alors que je plantais l'épingle dans sa hanche sans le vouloir. S'il arrêtait de bouger aussi. "Your fault, stop moving." Lançais-je dans un anglais parfait, avant de reprendre les bonnes mesures. Bien entendu, il se plaignit, mais j'en avais rien à faire, bien trop concentrée dans ma tache pour écouter ses lamentations. Sa silhouette d'Apollon m'avait donné une idée de pantalon pour homme, quelque chose de sobre et d’élégant. J'appliquais une nouvelle épingle, quand les portes de ma suite s'ouvrirent de l'autre côté de la pièce, laissant entrer ces deux idiots que l'on m'avait collé au début de ma carrière de styliste. Je n'avais même pas pris le soin de retenir leurs prénoms, préférant de loin les appelé Tweedledee & Tweedledum. Aujourd'hui, j'allais enfin réaliser un de mes rêves les plus fous,  un souhait que j'allais moi-même réaliser. Oohhh, rien que d'y penser, j'en avais les mains toutes tremblantes. Je me relevais et fis quelques pas en arrière tout en observant mon travail qui prenait enfin forme. Oui le tissu était parfait pour ce pantalon de costume. "Parfait..." "Can I take it off?" L'enlever, me demanda mon jouet du moment, ennuyer de devoir rester debout. N'avait-il pas compris qu'énerver une femme armée n'était pas une bonne idée? "Stay still" Ordonnais-je avant de siffler pour que Maîka vienne à mes côtés. Je caressais doucement sa tête, un sourire aux lèvres avant de lui donner un ordre. "Yubqih la yazal" Oui, garde le immobile, pendant que je m'occupe des deux autres crétins. "You're crazy, Shaera!" Une insulte qui dessina un sourire coupable sur les lèvres. Folle, je ne le niais pas. "He has a taste for balls, if you want to keep yours, don't move." La cible favorite de Maïka, il fallait dire qu'il avait été dresser pour attaque pile dans les parties intimes des hommes. "Crazy bitch." Souffla-t-il. Pas le temps pour lui de reprendre son souffle, que Maïka lui grogna dessus. "Kalb jayid" Lançais-je en tapotant la tête du berger australien croisé dingo. Oui, bon chien, maintenant, je devais m'occuper des deux autres.

Je levais mon regard sur eux et soupirais. "Vous avez reçu une lettre" M'expliqua Tweedledum tout en me tendant une enveloppe ivoire marqué d'un sigle que je connaissais que trop bien. Je pris la lettre et la posais sur le comptoir le plus proche. Chaque chose en son temps. "Vous nous avez fait venir, Princesse?" Lança Tweedledee avec un sourire des plus niait aux lèvres. "J'ai l'immense joie de vous dire qu'à partir d'aujourd'hui..." Je laissais un peu de suspense alors que leurs visages s'éclairaient. Ils s'attendaient à une bonne nouvelle et au fond, elle l'était mais seulement pour moi. "Vous êtres virés!" M'exclamais-je, un énorme sourire aux lèvres. Ahh quelle satisfaction! J'en jouirais presque! Leurs yeux clignotèrent encore et encore, jusqu'à enfin comprendre qu'ils étaient loin d'avoir mal entendu. "Vous avez 5 minutes pour foutre le camps de mes appartements et pas une de plus. Et si vous êtes encore planté là comme deux cons devant moi passé ce délai, les deux gardes postés devant ma porte, se feront un plaisir de vous montrer la sortie." Je pris une grande inspiration, alors qu'un poids sur mes épaules s'envolant. "Vous savez pas à quel point c'est bon de vous dire cela. Depuis le temps que j'attendais ce moment. Fiouuuu! C'est fait, je suis débarrassée de vous deux. Je suis enfin libre!" Je soupirais, un grand sourire aux lèvres. Il fallait que je fête cela comme il se devait. "Mais... Mais Princesse!" S'exclamèrent les deux idiotes. "4 minutes, maintenant trois.."

Location inconnue, Moyen-Orient. 2018
....

   


Dernière édition par Wild Bird le Ven 26 Jan - 20:34, édité 10 fois
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MessageSujet: Re: Valeska Ghica   Valeska Ghica EmptyLun 29 Mai - 21:44


Braeden

O'Connell
Identité
Nom :O'Connell, un nom de famille assez commun en Irlande. (Négociable, tant que cela reste Irlandais) Prénom(s) :Braeden, cela se prononce Brai-den. Je trouve qu'il va plutôt bien au visage de l'acteur. Mais si celui-ci ne vous plait pas, il y a toujours moyen de le changer. Surnom(s) : Il n'en a pas vraiment, mais les gens ont tendance à l'appeler par son nom de famille. Age : La trentaine Date et lieu de naissance :Irlande du sud, n'importe quelle grande ville. Pour ce qui est de la date, c'est au choix, tant qu'elle colle avec l'âge demandé. Origines : C'est un Irlandais pur souche. Etat civil : Célibataire, veuf ou bien divorcé. Il n'est pas pour autant père de famille. Orientation sexuelle : Hétéro. Préférence sexuelle : C'est un dominant. Qualités :Brave, protecteur, battant, charmeur, courageux Défauts :Grande gueule, sarcastique, sang-chaud, borné, sadique, ironique, brute.Statut au sein de l'harem :Garde personnel de Valeska Ghica, princesse de Roumanie. Métier/occupation :Il n'a pas fait de grande étude, s'engageant dans l'armée à peine sa majorité passée. Il a quand même bien évolué dans l'armée, sans pour autant monter de grade en grade. C'était un soldat fait pour le terrain. Célébrité :Eoin Macken.
je suis

LIBRE
Histoire
Je laisse libre l'histoire entière de Braeden, il vous faudra cependant prendre en compte les quelques points qui suivent. Smile

-Braeden a vécu en Irlande du Sud durant onze ans, avant que sa famille ne déménage en Amérique à cause du travail de son paternel. (Le choix du lieu, reste libre).
-Sa famille adopte la double nationalité après plusieurs années dans le pays.
-Il a donc débuté l'armée dès sa majorité, ne perdant pas le temps avec les études.
-Il a passé une dizaine d'année dans les rangs, avant d'être mise à pied. D'un côté, il s'y attendait après tout frapper son sergent chef est loin d'être pardonnable.
-Braeden continue sa vie en travaillant dans le pub d'un de ses amis en tant que Barman, sauf que cela ne rembourse qu'à peine ses factures. Heureusement pour lui, l'un de ses anciens camarades d'arme, le fait rentrer dans des combats de boxe pas très légaux. Avec son expérience  en tant que militaire, il se débrouille plutôt bien.
- Il y a quelques mois, un homme qu'il n'avait pas vu depuis des années refait surface dans la vie de Braeden. Son ancien sergent, le même à qui il a pété le nez quelques années auparavant. Celui-ci lui fait une offre, reprendre sa place comme garde du corps auprès d'une tête royal. C'est un homme comme lui dont il a besoin pour cette tâche. Quelqu'un qui n'a pas peur de mourir et qui s'y connait en protection.


Liens
Shaera Al Delkhalek
Garde personnel
Elle le rend fou, non pas simplement par son physique. Non, elle arrive à le rendre littéralement fou avec sa façon de lui parler et de paraître. Il vient de débarquer dans la vie de la jeune femme, ne comprenant que trop tard dans quel pétrin, il vient de se mettre en acceptant cet emploi qui lui promettait, un travail stable et une bonne paie à chaque fin de mois. H24 avec cette femme, il est clair que cela risque de faire pas mal d'étincelle, surtout que, plus l'irlandais est forcé de côtoyer Shaera, plus il n'a qu'une envie, s'occuper bien plus personnellement de son cas. Sauf que c'est elle le boss et la jeune femme prend un malsain plaisir à le lui rappeler. Vaut mieux ne pas être autour d'eux, le jour où cela va éclater.

   


Dernière édition par Wild Bird le Jeu 19 Mar - 16:04, édité 9 fois
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MessageSujet: Re: Valeska Ghica   Valeska Ghica EmptyLun 29 Mai - 21:45





Scénario
Information
Tout d'abord, merci d'avoir pris le temps de lire mon petit scénario. ♥ Comme vous avez pu le voir, beaucoup de chose sont libres, parce que je veux que vous vous appropriez totalement le personnage.

Pour ce qui est de l'avatar, celui-ci n'est pas négociable, Eoin MacKen est parfait pour ce rôle. ♥

Au niveau de l'écriture, je préfère la qualité à la quantité et aussi une plume qui soit au même niveau que la mienne afin que le rp soit fluide et motivant. Vous pouvez voir de quoi je suis capable en regardant mes rps sous Reaven ou William.

Au niveau de la relation entre Braeden et Valeska. Je vous donne la couleur tout de suite, ça sera un lien love, mais cela n'arrivera pas en à peine trois rps, oh que non! Cela prendra du temps. Braeden pourra très bien avoir des aventures avec d'autres membres, car Val lui demandera aucunement de lui rester fidèle, vu qu'elle ne le sera pas de base. Tant que le coeur de Braeden lui appartient (et vice versa), il est libre de de coucher avec qui il veut.  



Dernière édition par Wild Bird le Ven 13 Mar - 22:53, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Valeska Ghica   Valeska Ghica EmptyMer 31 Jan - 23:57


Cassian

Haynes
Identité
Nom :Haynes, mais je le laisse négociable, s'il y en a un autre qui te tape à l'oeil et qui sonne anglais, tu peux changer. Prénom(s) :Cassian. Ce prénom est celui de son père, mort dans l'exercice de ses fonctions. Surnom(s) :Cas', Sian'. Age :25 ans. Date et lieu de naissance :Où tu veux en Australie. Origines :Anglaise, mais il est né en Australie. Ca famille y vit depuis plusieurs générations, déjà. Etat civil :Célibataire. Orientation sexuelle : Cassian est bi, il ne voit aucune barrière, quand il est question d'aimer. Préférence sexuelle :C'est un soumis, que ce soit par préférence et par experience, mais si on lui demande, il s'est être dominant.Qualités : A l'écoute - Observateur - Protecteur - Il faut comprendre que Cassian pense aux autres avant lui même. C'était dans sa nature, bien avant qu'il se fasse kidnapper. Mais après cet incident et dans les mains de son premier et seul maître (avant Shaera), il a été complètement brisé et reconstruit d'une manière bien définit: Doux - Calme - Tendre - Câlin - Loyal - Patient - . Un vrai chat n'est-ce pas? (De son passé, il a aussi gardé son don pour le dessin). Défauts :Faible mentalement parlant - Fragile - Soumis - Collant - Énigmatique - Nerveux - Silencieux (Il parle seulement quand on lui donne l'ordre) - Naïf - Pardonne tout et n'importe quoi.Statut au sein de l'harem :Martyr Insoumis. Métier/occupation :Il était en dernière année en Licence d'art (spécialisation dessin), quand il s'est fait enlever. Groupe:Écrire ici. Célébrité :Emil Andersson. NON NÉGOCIABLE! x)
    Emil Andersson Kassian Hollow
je suis

LIBRE
Histoire
Je laisse l'histoire de Cassian avant son kidnapping libre, il y a juste à garder l'idée qu'il est né quelques mois après la mort de son père, qu'il a un don pour le dessin et qu'il vient d'une famille modeste.

Pour ce qui est de l'enlèvement et du harem:
- Il a été enlevé en sortant d'une soirée. Il se souvient d'être en train de s'allumer une clope tout en marchant tranquillement, qu'un van s'est garé sur le côté et puis, plus rien.
- Une fois arrivé au harem, il ne se laisse pas faire, ce qui attire bien entendu la curiosité d'un maître qui finira par le briser, après de long mois de tortures physiques comme mentales.
- On parle d'un homme avare, sadique et pervers en plus de cela. Il le refaçonne pour en faire un soumis qu'il malmène et plie à ses moindres fantasme. Il en fait un vrai chat. Cassian en oubliera même son propre prénom et répondra au surnom "Chaton".
- Le cauchemar dure un peu moins de deux ans et Cassian se laisse faire, sans broncher. Il est forcé de marcher à quatre pattes, de porter un collier auquel s'accrochera une laisse à chaque fois que Cassian est dans les espaces publiques du harem. Son dos est recouvert de cicatrices causé par les coups de fouets et les diverses blessures qu'il a subit.
- La seule chose que son maître lui a laissé garder, c'est ses cheveux longs. Il angoisse dès qu'une pair de ciseau se retrouve bien trop près de sa chevelure d'or.
- Il croise à plusieurs reprises le regard d'une femme et n'y pense pas grand chose, car après tout, on ne lui demande pas de penser ou de réfléchir.
- C'est seulement un mois plus tard qu'il la voit de plus près et qu'il l'entend parler à son maître. Elle fait partie de la famille royale et semble être fière de l'être. Elle s'en prend à son maître et lui arrache la laisse de ses mains avant de clamer "Chaton" son esclave, à partir de maintenant. Bien entendu cela ne plait pas à maître, mais celui-ci n'a rien à dire, car il est après tout qu'un simple invité dans ce lieu.  


     
Liens
Shaera Al Delkhalek
Nouvelle maîtresse
Elle s'en fout. Oui, elle s'en fout de voir des esclaves soumis à des personnes puissantes et riches. Elle s'en fout de les voir se faire traiter comme des moins-que-rien. Oui, elle s'en fout. Et pourtant... Pourtant devant lui, devant cette scène, Shaera n'est pas resté indifférente. Ce n'était pas, parce qu'il était à quatre pattes, ce n'était pas parce qu'elle pouvait voir de loin que son maître était un monstre pervers, un ignoble personnage qui la débectait à peine, la brunette posait son regard sur lui. Non. La raison, c'était ses yeux. Il n'y avait pas de douleur, il n'y avait pas de peine. D'habitude, quand un esclave croise son regard, elle y lit entre autre de la pitié et de la peur. Mais avec lui... Avec lui, elle avait sentit un vide immense et aucune lueur. Et ça, elle l'avait sentit en plein cœur.


Cela la rendait folle et la gardait éveillée dans son lit. Ce regard la hantait, il était comme fixé sur ses pupilles. Cela devait cesser, il fallait y mettre une fin. D'humeur massacrante, elle avait fouillé le harem jusqu'à retrouver cet homme pitoyable et son esclave. Pas besoin de garde, pas de besoin de sécurité, Shaera savait se battre, elle savait se défendre au besoin. Mais il ne ferait rien. On ne touche pas le sang royal ici, on le respecte ou on meurt. Elle a attrapé la laisse tirant d'un coup sec pour qu'il lâche. ""Sais-tu qui je suis homme? Je suis Shaera El Delkhalek, fille de ... Al Delkhalek, cousin des dirigeants de ce harem. Et je clame ton esclave. Je le clame mien à partir de maintenant." Elle l'a fait, son regard ne quittant pas celui du tortionnaire. Sa voix aussi froide que la glace. "Si tu es plus intelligent que je ne le pense, tu garderas ta bouche fermée, tu n'oseras pas pousser de complainte. Non pas parce que je prends les droits sur ton martyr, mais parce que tu ne veux pas la honte de t'être fait mettre K.O par une femme." Il faut qu'elle sorte, il faut qu'elle parte loin de lui, avant de sortir ses griffes, alors elle lance un regard tout aussi froid à cet esclave à genoux par terre et tire sur la laisse. "Tu es à moi, maintenant. Alors avance."

       
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MessageSujet: Re: Valeska Ghica   Valeska Ghica EmptyVen 2 Fév - 19:17





Scénario
Information
Tout d'abord, merci d'avoir pris le temps de lire mon petit scénario. ♥️ Comme vous avez pu le voir, ce personnage est assez original et je pense qu'il peut être assez intéressant à jouer, du moins, je l'espère. x)

Pour ce qui est de l'avatar, celui-ci n'est pas négociable, car j'ai créer ce personnage autour du modèle.

Au niveau de l'écriture, je préfère la qualité à la quantité et aussi une plume qui soit au même niveau que la mienne afin que le rp soit fluide et motivant. Vous pouvez voir de quoi je suis capable en regardant mes rps sous Reaven ou William.

Pour mieux cerner Shaera voici son caractère:
Sharea Al Delkhalek:

Au niveau de la relation entre Cassian et Shaera: ce n'est pas un lien love, bien que les deux vont souvent partager le même lit. Il est plus question d'une connexion et d'un besoin mutuel de l'autre. Shaera lui a sauver la peau et va l'aider à retrouver un semblant de vie et se retrouver lui-même par la même occasion, mais Cassian ne sera jamais à 100% le jeune homme qu'il était avant de s'être fait enlever. Il en sera à peine la moitié. Quand à lui, le blondinet lui serait d'un grand recours, avec son caractère et ses épisodes de dépression. Il est le seul qui peut être affectif avec elle, le seul qui aura le droit de la toucher pour lui offrir un moment de tendresse (et des orgasmes par la même occasion). L'unique témoin de ses pleures, car devant lui, elle n'a pas peur qu'il la juge.

Shaera est une styliste et elle a sa propre marque de vêtement vendu partout dans le monde. Cassian sera son mannequin et sa muse, mais aussi son assistant et le seul qui aura le droit de se retrouver dans son bureau.



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MessageSujet: Re: Valeska Ghica   Valeska Ghica EmptyJeu 22 Fév - 14:31










Une citation pas trop longue juste là
Shaera

Al Delkhalek
Identité
Nom :Al Delkhalek. Je sais bien que je n'ai pas besoin de vous donnez plus d'informations pour que vous sachiez qui je suis, non? Al Delkhalek, Famille Royale de Dubaï et toute puissante.  Prénom(s) :Shaera, un prénom rare mais qui a dû caractère. Autant vous dire que cela me décrit très bien. Fanore, mon second prénom, mais très peu utilisé. Surnom(s) :Shae, le seul que j'accepte. Age :26 ans. Date et lieu de naissance :Perth en Australie, le 9 Août 1992. Je suis née dans le pays natal de ma mère. Origines :Anglaise de part ma mère et Arabe de part mon très chère père. Un jolie mélange si vous voulez mon avis... Qu'est-ce que je dis, bien sûr que vous le voulez, cela va de soit. Etat civil :Célibataire, il n'est pas encore né le jour où on me mettra de force la bague au doigt. Orientation sexuelle : Hétéro, bien que jouer à touche-touche avec une fille une fois de temps en temps, c'est pas mal. Je vous recommande de tester avec le sexe inverse juste une fois dans votre vie. Préférence sexuelle : J'aime dominer un homme, sentir mes ongles s'ancrer dans sa peau, alors que je le conduis, mais un peu de soumission, ça ne fait pas de mal. Du moins, tant que mon partenaire sait ce qu'il fait. Qualités :Sociale, chaleureuse, marrante, charmeuse, ardente, imaginative, infatigable, créative et débrouillarde. Défauts :Capricieuse, garce, sarcastique, sadique, pessimiste, impudique, colérique, grossière, moqueuse, chieuse pure souche, désorganisée, paresseuse, rancunière, dépressive et fêtarde Statut au sein de l'harem :Cousine des maitres de ces lieux. Métier/occupation :Un diplôme de stylisme en poche, j'ai ma propre marque qui a vu le jour, il y a quatre ans de cela. Bien qu'on m'ait refilé deux idiots dans les pattes pour garder un œil sur mes créations, j'ai depuis peu eu la chance de mettre Tweedledee et Tweedledum à la porte, une fois mon diplôme en poche. Célébrité :Alexandra Park.
Âge

26 ans
je suis une

tête royale
(0/3) rps

Libres
Goûts

Aime: Le vin, un peu trop au goût de ma famille, pas assez à mon avis. Une préférence pour un bon Penfolds, un vin fabriqué en Australie.

La première bouffée de cigarettes, le matin.

Les grasses matinées qui s'étendent jusqu'à une heure de l’après-midi. Ah que j'aime mon lit...

La bouffe, mon dieu que j'aime ça! Même si physiquement, j'en ai pas l'air, je suis un estomac sur pattes. Il m'arrive bien souvent de me glisser en douce dans les cuisines du harem pour chopper un truc. Japonais, français, italien, coréen etc... j'aime tout.

Le sexe, mais bon qui n'aime pas ça?!

La musique, celle qui fait vibrer les murs et gueuler les voisins d'en face. Il m'arrive parfois d'écoute du classique, mais généralement, ce n'est pas bon signe. Comme beaucoup de monde, le genre de musique que j'écoute reflète mon humeur. Passer des heures sur mes créations, que ce soit en les dessinant sur papier où en leur donnant forme.

Je vous arrête tout de suite, si vous croyez que j'emploie une douzaine de personne pour créer des tenues pour moi. Je suis celle qui fait tout, de la création à la réalisation de la première copie.

Les tissues de qualité, ceux qui sont léger et doux au toucher. Les couleurs vives et les patterns floraux. Les sequins et la dentelle. Les tons sombres et les violets qui virent au rouge baie. Les piques et le cuir végétale.

D
Une princesse ne fait pas si, une princesse ne fait pas ça". Ouais et bah, une princesse va te frapper en plein dans la gorge si tu ne l'as ferme pas. • Qu'on me manque de respect et qu'on me rabaisse parce que je suis une femme. En règle général, c'est dans ces moment-là que j'envoie Maïka. Je suis fière d'être une femme, les hommes craignent. • Miss dépression, les pensées noires et les coups de blues. Malheureusement pour moi, ils sont plus nombreux que je l'aimerais... • Qu'on me prenne la tête, je suis franche et grossière, me chercher ne donne jamais rien de bon pour personne.
Anecdotes
J'ai appris à tirer avec une arme avec mon premier garde, quand j'avais dix ans. Ce n'est pas devenu une passion, mais étrangement, je suis plutôt douée. Hors personne n'a confiance en moi quand il me voit une arme à la main...

J'ai faillis perdre la vie, alors que je n'avais que six ans. Un ennemie de mon père avait envoyé un de ses hommes pour me tuer. Heureusement pour moi, j'avais un garde dévouer à ma sécurité. J'en garde des cauchemars et une cicatrice sur le côté droit de ma gorge.

Je parle couramment l'anglais, l'arabe et le français. Ce qui me permet de jurer de bien des  façons... Il faut dire que j'ai voyagé un peu partout depuis mon enfance, surtout à New York et Milan pour les défilés. D'ailleurs ma marque a eu son proche show dans ses deux grandes villes.

Je suis atteinte de dépression, un petit cadeau du côté de ma famille maternelle. Quand les trois fées se sont penchées sur mon berceau, elles se sont sûrement dit " Tu seras belle et créative, mais aussi dépressive!".

Propriétaire d'un chien depuis déjà quelques années. On est loin du chiwawa format mouchoir de poche, Maïka est un berger australien croisé dingo. Bien que c'était un cadeau, celui-ci à été formé pour me protéger. Il aime particulièrement mordre les entre-jambes des messieurs bien trop collants.
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MessageSujet: Re: Valeska Ghica   Valeska Ghica EmptyJeu 22 Fév - 14:31










Les relations
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MessageSujet: Re: Valeska Ghica   Valeska Ghica EmptyVen 3 Aoû - 14:58


Anabella

Jones
Identité
Nom :Jones, cela reste négociable tant que cela reste bien anglais. Prénom(s) :Anabella, le nom de son arrière grand-mère paternel. Surnom(s) :Ana, Bella, peu importe, mais elle adore qu'on lui donne des petits noms. Age :26 ans. Date et lieu de naissance :En Angleterre, peu importe où, à part la capitale (histoire de rendre l'histoire un peu plus unique). Origines : Il y a un peu de tout, anglaise, écossaise et même norvégienne.Etat civil :Célibataire. Orientation sexuelle : Pansexuelle, elle n'est pas compliquée. Préférence sexuelle :C'est une soumise, elle aime qu'on la domine, mais elle peut surprendre parfois en changeant de rôle.Qualités : Anabelle est une vrai pile électrique; elle est tellement sociale qu'elle arrive à se faire des amis partout où elle passe ; Elle adore divertir les gens, que ce soit pour égayer leur humeur ou juste pour faire rire ; Gracieuse, Ana' faisait de la danse jusqu'à ses 18 ans, il y a toujours un côté suave et harmonieux dans ses gestes. Ce qui est un atout très avantageux dans son métier actuel et dans sa vie amoureuse ; Une vraie charmeuse, il ne lui en faut que très peu pour avoir la personne qu'elle souhaite dans son lit.Défauts :Agaçante, elle sait l'être, il faut dire que son besoin éternel de bouger peu en énerver plus d'un. Heureusement pour Shaera, elle sait parfaitement quoi faire pour la faire taire ; Anabelle adore les gossips et les rumeurs, il n'est pas rare de la voir jouer les murs, juste pour écouter ce que les gens disent autour d'elle, elle est donc médisante et bien trop curieuse ; Ana est quelqu'un de sensible et vu son caractère, elle est loin d'être du genre à cacher cela derrière une carapace bien dure. Non, c'est tout le contraire. Il n'y a pas de carapace, pas de gilet par balle, rien. C'est une catastrophe à chaque fois qu'on la blesse émotionnellement ; La belle agit avant de penser, sa main part donc très souvent rencontrer le visage de certains, les murs aussi, ainsi que les objets autour d'elle. Un tempérament de feu caché, mais bien présent. Statut au sein de l'harem : Invité de la princesse Shaera Al Delkhalek. Elle partage même ses appartements. Métier/occupation :Anabella a travaillé dans différents endroits, elle a été serveuse et barista à plusieurs reprises, mais aussi barmaid et dog-sitter. Tout ce qui pouvait lui tomber sur la main. Depuis maintenant 4 ans, elle est l'une des égéries pour la marque de haute couture de la princesse. Shaera a créé un parfum qui porte le nom de la blonde, un parfum frais, sucré et fleurit. L’essence même d'Anabella. Elle défile aussi et se voit souvent offrir le final de certains défilés. Il n'y a pas de doute qu'elle est privilégiée. Groupe:Tortionaire. Célébrité : Lily James (blonde)
   
Lily James Anabella Jones
je suis

LIBRE
Histoire
Je laisse l'histoire d'Anabella assez libre, il vous suffit juste d'ajouter ses points importants dans son histoire.

Avant que Shaera apparaisse:
-Elle vient d'une famille qui a très peu de moyens et de ce fait, elle n'a jamais vraiment quitté sa ville natale. Elle rêvait souvent de faire le tour du monde, s'imaginant bien souvent sur les plages d'Hawaï ou encore dans les rues de Paris.
-Elle est loin d'avoir été un enfant modèle, surtout à l'école. Préférant largement faire l'école buissonnière au lieu d'étudier.
- Elle commence la danse grâce à une association bénévole de son quartier, quand elle avait 6 ans. Elle a un don et son professeur le remarque rapidement. Anabella voit la danse comme un moyen d'épanouissement et donne tout ce qu'elle à. Elle gagne même quelques concours, mais ce n'est pas pour autant qu'elle arrive à se démarquer des autres danseuses bien plus privilégiée qu'elle. Le dégoût devant cette concurrence et l'injustice qui en dégorge la pousse à arrêter la danse à ses 18 ans.
- Ne se voyant pas restée coincée pendant des années à cause d'un emprunt à la banque pour ses études, Anabella entre dans le monde du travail rapidement après le lycée. Elle fit un peu de tout et le changement ne la gênait pas, bien au contraire.

Après que Shaera aparaisse:
- Anabella a quitté sa ville natale pour Londres avec l'aide de sa petite amie du moment. Vu sa sociabilité, il ne lui fallut pas longtemps avant de trouver un job et pas n'importe où. Après avoir charmé le responsable du bar de l’hôtel Intercontinental, elle se retrouve barmaid durant la nuit.
- C'est durant ses heures de travail, qu'elle a rencontré Shaera. Elles ont passé des heures entières ensemble. La princesse n'a bien entendu pas mis longtemps avant de flirter avec la blonde, la mettant rapidement dans son lit à la fin de son service. Cette nuit-là Anabella s'en souviendra pour toujours. Shaera lui a fait découvrir les joies du monde de la dominance.
- Anabella ne sut que quelques jours plus tard qui Shaera était réellement. Elle n'a pas cru au début, mais il n'a pas fallu longtemps pour la convaincre.
- Une semaine plus tard, Shaera lui fit une proposition à laquelle Ana s'empressa de dire oui.
- Anabella signe son premier contrat de mannequinat avec la marque de la princesse. Elle apprit des meilleures pour être apte à faire son nouveau travail, mais il faut dire que sa grâce et son charme lui sont tout aussi des atouts majeurs.
- Peu importe où Shaera allait, Anabella la suivait, découvrant enfin ces pays dont elle avait rêvés.
- Son premier vrai photoshoot était pour son parfum. Cela s'est passé dans les jardins d'un manoir dans le sud de la France. Un souvenir mémorable pour Anabella comme pour Shaera. Les deux ont finis la séance photo par un moment d'intimité caché dans la prairie.

-Au bout de deux ans, Anabella a de quoi s'épanouir, Shaera la laisse s'envoler de ses propres ailes, lui offrant de vivre dans son penthouse à Londres autant de temps qu'elle le souhaite.
- Les deux se retrouvent assez souvent, dans n'importe quelle vide du monde et reste en contact régulier.  


     
Liens
Shaera Al Delkhalek
You're mine
...

       


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MessageSujet: Re: Valeska Ghica   Valeska Ghica EmptyVen 3 Aoû - 20:51





Scénario
Information
Tout d'abord, merci d'avoir pris le temps de lire mon petit scénario. ♥️ Comme tu as pu le voir, beaucoup de chose sont libres, parce que je veux que la personne qui compte prendre mon scénario puisse se l'acquérir complètement.

Avatar non-négociable. Le scénario est en quelque sorte inspiré par l'actrice.

Au niveau de l'écriture, je préfère la qualité à la quantité et aussi une plume qui soit au même niveau que la mienne afin que le rp soit fluide et motivant. Vous pouvez voir de quoi je suis capable en regardant mes rps sous Reaven ou William.

Au niveau de la relation entre les deux demoiselles : Ce n'est pas un lien love à en devenir. Les deux femmes comptent beaucoup à l'un à l'autre, mais il n'y aura jamais rien de plus que ce qu'elles ont maintenant. Shaera tient énormément à Anabella et c'est pour cela qu'elle prend soin d'elle. On pourrait presque dire qu'elle est sa soumise. Étant donné qu'elle reste attachée d'une façon ou d'une autre à la princesse.

Anabella sait que cela n'est pas de la charité, tout comme elle n'est pas là pour abuser de la gentillesse de Shaera. Elle prend ce que son "amie" lui donne, car elle lui donne tout autant en retour, sans parler qu'elle aime son niveau de vie. Elle lui appartient d'une certaine façon et Shaera ne le cache pas.

Anabella sait comment Shaera fonctionne, le coup de ses déprimes qui peuvent partir en catastrophe, ses débordements, etc... La blonde est l'une des rares personnes qui sait comment la gérer dans ces moments-là.

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MessageSujet: Re: Valeska Ghica   Valeska Ghica EmptyLun 27 Jan - 21:15



Valeska Ghica
ft- Alexandra Park

Identité
Nom: Ghica. Je n'ai pas besoin de vous donnez plus d'informations pour que vous sachiez qui je suis, non? Ghica, la famille Royale de Roumanie.
Prénom(s) : Valeska, un prénom rare mais qui a du caractère. Autant vous dire que cela me décrit très bien. Aranka Scarlat, mon second et troisième prénoms, mais très peu utilisé.
Surnom(s) : Val pour les intimes, princesse pour les autres.
Age: 27 ans.
Date et lieu de naissance : le 9 Août 1993 Bucarest en Roumanie. Je suis née dans le pays natal de mes ancêtres.
Origines : Roumaine, plus principalement Valachienne.
Etat civil : Célibataire, il n'est pas encore né le jour où on me mettra la bague au doigt.
Orientation sexuelle : Hétéro. Le sexe opposé est l'une des mes grandes passions, ainsi que l'une curiosité favorite.
Préférence sexuelle: J'aime dominer un homme, sentir mes ongles s'ancrer dans sa peau, alors que je le conduis, mais un peu de soumission, ça ne fait pas de mal. Du moins, tant que mon partenaire sait ce qu'il fait.
Qualités : Sociale, marrante, charmeuse, ardente, imaginative, infatiguable, créative, loyale à son pays et débrouillarde.
Défauts : Capricieuse, parfois froide, garce, sarcastique, sadique, pessimiste, impudique, colérique, grossière, moqueuse, chieuse pure souche, rancunière, dépressive et fêtarde
Statut au sein du harem: Invitée des princes.
Métier/occupation: Princesse roumaine, c'est déjà pas mal non? Je suis placée deuxième sur la liste de succéssion au trône, juste après mon frère jumeau.

Je suis une

tortionnaire royale


Caractère
J'ai un caractère de merde. Je ne m'en cache pas au moins, je ne joue pas, ne prétends pas être quelqu'un d'autre que ce que je suis vraiment. Une chieuse pure souche, qui profite de la vie comme elle le peut, avant de finir entre 4 morceaux de bois. Ce qui veut dire, que je marcherais sur quiconque ose se mettre en travers de mon chemin. Je suis une Ghica et fière de l'être, entendre quelqu'un dévaloriser mon héritage à tendance à me mettre hors de moi et cela rend ma colère encore plus terrible.

Ma loyauté se partage en deux et si d'un côté, on y retrouve ma famille et le reste de mon entourage de l'autre, on y trouve mon peuple. Bien que cela revienne à mon jumeau de porter la couronne, j’ai été conditionnée dès petite dans mon rôle de seconde et de ce que cela implique si mon frangin vient à passer l’arme à gauche avant de donner un héritier. Mon rôle de princesse n’est pas sans repos.

J'aime penser qu'il reste encore de bonnes âmes dans ce monde, que les humains ne sont pas tous foutus et narcissiques. Alors je me socialise, je chercher ses perles rares et si parfois, je tombe sur de mauvaises personnes, j'arrive tout de même à trouver certaines âmes qui en valent la peine. Votre réseau d'amis reflète en partie qui vous êtes au fond et si vous êtes entouré de bonnes personnes, cela ne veut-il pas dire que vous en êtes une par la même occasion ? Je ne cherche pas pour autant à avoir tout un squad, les bons amis sont aussi rares que le bon vin. Rancunière comme je suis, il m'est bien entendu impossible de donner une chance ou d'accorder à nouveau ma confiance à une personne qui m'a bafouée. Et en général, ça finit par une petite vengeance amère et parfois brutale...

J'ai cette grande créativité, le genre qui me permet d'évoluer pleinement dans ma passion, en me donnant diverses idées de toile. Cela me réveille en pleine nuit en faisant naître une image dans ma tête. Mais si en apparence cette qualité est géniale, il n'empêche qu'elle se joue souvent de moi et me met souvent dans un état de crise ou d'angoisse. Elle se joint à ma paranoïa et me fait imaginer mille et une scènes horribles. Ça va parfois loin, très loin.

Dépressive depuis des années, je me soigne à coup de pilules, de vins et de cigarettes. Un mélange qui est loin d'être des meilleurs, mais jusqu'à présent, cela m'a toujours aidé à remonter la pente. Cela peut me prendre du jour au lendemain et rendre mes idées plus noirs et plus morbide qu'un film d'horreur de série B. J'évite le monde, je me fais oublier enfin, quand je ne pète pas un câble pour une connerie ou quand on ne veut pas me lâcher la grappe.

"Et tu embrasses la reine avec cette bouche?!" Question souvent posée, quand j'en surprends plus d'un avec mon vocabulaire. Je ne mâche pas mes mots, je ne les enjolive pas non plus, je dis ce que je pense. Rien à faire si cela ne plaît pas. J'en fais exclamer plus d'un quand je me balade avec presque rien sur le dos. Impudique dirons-nous, je n'ai rien à cacher, enfin physiquement parlant.

J'ai appris à toujours gagner l'objet de mes désirs, que ce soit d'une manière douce en utilisant mon charme où jouant la fille hyper bornée qui ne prend jamais "non" comme réponse et qui fonce en mode guerrière. Oui, je suis de celles qui petites, tapaient du pied pour se faire entendre et qui maintenant n'hésite pas à jouer les tornades en dévastant tout sur son passage. Enfin, à présent, je ne tape plus du pied, mais du poing.

Au lit, je ne suis pas chienne, je suis leader. D'ailleurs, je hais ce stéréotype qu'une femme se doit d'être chienne au lit. La femme embrasse sa sexualité comme elle le sent, cela ne la rend pas pour autant bien plus perverse qu'un homme.

Alors, est-ce que tu commences à m'apprécier ou au contraire détestes-tu ma façon de penser ? Bien que ton point de vue sur ma personnalité ne m'intéresse guère... Est-ce que je te répugne ? Est-ce que je te fais marrer ? Je commence à me demander si tu en vaux la peine en fait. Dans tous les cas, j'en ai terminé avec toi et non, non, il n'y aura pas d'autres questions. J'ai pas que ça à foutre moi, j'ai une bouteille de champagne qui m'attend, ainsi qu'un esclave - qui a entre vous et moi, à un cul d'enfer.

Physique
Taille:  1m75.  Je ne suis pas immense, bien que ma taille me permet de regarder un homme très facilement dans les yeux, du moins, la plupart du temps.
Poids : 58 kilos. Je suis svelte et je l'ai toujours été mais, je suis pourtant un estomac sur pattes quand il est question de nourriture.
Yeux : Ils sont couleur noisette, ornés d'une lueur pétillante.
Cheveux: Les cheveux d'un brun foncé, les mêmes que ma grand-mère maternelle de ce que j'ai pu voir sur les photos. À ce qui paraît, je ressemble plus à mon père qu'à ma propre mère, il n'empêche que j'ai son nez.
Particularité:Pas de tatouage, ni de piercings, mais quelques cicatrices dont une à la gorge, un petit cadeau d'un assassin envoyé par un ennemi de la famille.
Petites infos
J’ai un frère jumeau nommé Petru, né quelques heures avant moi. Ce qui est étonnant c’est que nous ne partageons pas le même jour d’anniversaire. Mon frangin est né le 8 août à 23h53 et moi le 9 à 00h07. A peine une quinzaine de minutes et pourtant, cela fait toute la différence.

J'ai appris à tirer avec une arme à feu avec mon premier garde, quand j'avais dix ans. Ce n'est pas devenu une passion, mais étrangement, je suis plutôt douée. Hors personne n'a confiance en moi quand il me voit une arme à la main...

J'ai faillis perdre la vie, alors que je n'avais que six ans. Heureusement pour moi, j'avais un garde dévouer à ma sécurité. J'en garde des cauchemars et une cicatrice sur le côté droit de ma gorge. Un homme envoyé pour tuer les héritiers du roi. Cette action avait été revandiquée par un groupe anti-monarchique, une salle affaire qui fait encore parler de nos jours. Certains pensent que cela ne vient pas de ce fameux groupe et que les services de cette homme avait été utilisé par quelqu'un de plus haut placer. Sa mort a laissé bien des questions sans réponses.  

Je parle couramment l'anglais, l'arabe et le français en plus de ma langue maternelle. Ce qui me permet de jurer de bien des  façons... Il faut dire que j'ai voyagé un peu partout depuis mon enfance.

Je suis atteinte de dépression, un petit cadeau du côté de ma famille maternelle. Quand les trois fées se sont penchées sur mon berceau, elles se sont sûrement dit " Tu seras belle et créative, mais aussi dépressive!".

Propriétaire d'un chien depuis déjà quelques années. On est loin du chiwawa format mouchoir de poche, Ion est un berger roumain des Carpathes croisé loup. Bien que c'était un cadeau, celui-ci à été formé pour me protéger. Il aime particulièrement mordre les entre-jambes des messieurs bien trop collants.

Derrière l'écran
Pseudo : Midnight's warmth Âge : C'est bon, je suis vieille.Avez-vous des pré-liens? : nope. Comment êtes-vous arrivé ici? : Je suis l'une des admins. Votre première impression?  : Je l'aime. Confirmez votre majorité : Ouais, ouais,je confirme. Réservez-votre avatar : voui. Code du règlement : Serez-vous esclave ou maître de votre destinUn dernier mot : mot.

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MessageSujet: Re: Valeska Ghica   Valeska Ghica EmptyLun 27 Jan - 21:16



Le Harem et vous
Ah ce harem, c'est bien l'un des seuls endroits où je me sens chez moi. J'y ai ma place, mes propres quartiers, mes petites habitudes. Je ne dirais pas que j'ai l'habitude de me retrouver entourée d'esclaves et de voir des gens prendre leurs pieds en publique, mais au moins ici, tout le monde montre son vrai visage.

C'est l'Emir qui m'a convié à venir voir de mes propres yeux cepetit paradis et c'est après avoir passé deux semaines que j'ai décidé de louer un appartement permanent. L'une de mes meilleures décisions de ma vie. Je viens souvent passer quelques semaines entre mes devoirs de princesse et de soeur.

Je ne connais que très peu "les maîtres de ce lieu", mais je les admire pour avoir eu l'idée de ce harem. J'avoue que je suis assez curieuse de cette histoire de jumeau.

Pour ce qui est des autres habitants, je dois avouer être assez mitigée, parce que bien que certains sont assez sympas, d'autres me laissent sceptique. Nous sommes tous pervers, mais à certains niveaux cela en devient effrayant. Pour ce qui est des esclaves, je ne suis pas du genre à montrer ma supériorité. La plupart savent leur place et cela donne une ambiance plutôt cordiale entre nous. Mais, si certains deviennent irrespectueux, je n'hésite pas à remettre les points sur les "i".

La race humaine est mauvaise, elle tue et s'autodétruit. Alors oui, peut-être que la vie de ses martyrs est parfois injuste, mais c'est la vie, la réalité. Faut faire avec et c'est tout. Alors non, je ne sens pas de l'injustice en voyant un homme fouetter son esclave, je m'occupe de ma vie à la place et tant que celui-ci n'est pas roumain...

BDSM

&co

Je suis

intermédiaire

J'aime la'

dominance, mais aussi la soumission

Dominance et soumission, on retrouve cela partout tant bien dans notre vie professionnelle que personnelle. Bondage et discipline, ça s'apprend, mais cela ne veut pas dire que tout le monde est doué pour cet art. Je ne l'ai pas étudiée comme d'autres ont sûrement dû, mais j'ai appris certaines techniques grâce à de bonnes rencontres et certains livres. J'aime jouer les dominantes, comme j'aime me soumettre, mais à certaines conditions. Si l'homme me montre de quoi il est capable, qu'il est bien un alpha, alors je laisserai avec grand plaisir me guider.


Histoire

Negoiu, Carpates de Roumanie. 1997
Cela m'a réveillé en plein milieu de la nuit. Pourtant, c'était un bruit sourd, tel le son d'un objet lourd qui tombe sur un tapis. Surprenant, quand on sait que je dors comme une marmotte en pleine nuit d'orage. Peut-être était-ce mon sixième sens, si cela existe vraiment ou un coup de chance, un putain de coup de chance. Mon corps ne demandait qu'à rester sous les couvertures douces et chaudes, mais pourtant, pourtant, je m'étais levée, tout comme les poils sur mes bras au contact de mes pieds contre le sol froid. Quelle idée de passer la fin de l'année dans les montagnes de Negoiu! Cela aurait été tout aussi bien dans un pays chaud, mais non nos parents avaient choisi de rester au pays.

J’étais la seule réveillée, Petru allongé sous les couvertures du second lit de la chambre dormait à point fermé et comparé à notre paternel, mon frère jumeau lui, n’émettait aucun bruit. Je pouvais entendre les ronflements constants et imperturbables de notre père de l'autre côté du couloir. Comment ma mère pouvait dormir avec ses bruits étaient pour moi digne d'un mystère. Me connaissant, l'envie de l'étouffer avec son oreiller m'aurait traversé l'esprit et peut-être même poussé à l'acte, sous la folie. Enfin bref, à part ce bruit des plus détestables, le chalet était silencieux, trop silencieux.

Mes petits pas normalement si faibles me paraissaient si lourd contre le parquet en bois et ma respiration bien trop forte. C'était la peur sûrement, cette même peur qui en temps normal vous pétrifie au lieu de vous pousser à avance vers le danger. Après tout, toutes les gamines de six ans fuient et se mettent à pleurer quand quelque chose les effraie. Mais encore, je n'étais pas comme elles. À six ans, je me battais avec quiconque me cherchait des noises, À vrai dire, faire pleurer les garçons était un de mes hobbies favoris.

Alors, je m'étais avancée, mettant un pied devant l'autre, jusqu'à atteindre la porte de ma chambre. Je l'ouvris sans attendre, mais je restais immobile et silencieuse, à l'écoute du moindre bruit. Rien, aucun son étrange, aucune ombre mystérieuse, rien. La lumière de ma lampe de chevet éclairait légèrement le couloir, juste assez pour me guider et éviter de me cogner. Nous venions tout juste d'arriver en France et la maison ne m'était donc pas assez familière pour que je puisse marcher dans le noir. J'étais à peine entrée dans le salon, quand l'écho d'un nouveau bruit arriva jusqu'à moi. Je restais immobile sur place, le temps que mes yeux s'adaptent à l'obscurité. Sauf que j'avais mis trop de temps et quand un nouveau bruit se fit entendre juste derrière moi, c'était déjà trop tard. La lame du couteau était si froide comparer à sa main gantée contre ma bouche. Une gamine aurait déjà tenté de crier, tout en tentant de se débattre avec ses petits points. Sauf que comparé à elle, j'avais un garde du corps qui m'avait appris ce qu'il fallait faire dans ce genre de situation. Ne croyez pas que pour autant, je n'étais pas effrayée. Je pense que si je n'avais pas été aux toilettes, avant d'aller me coucher, il y aurait déjà eu une flaque autour de mes pieds.

Je l'avais mordu, alors que les premières gouttes de sang avaient coulé, mettant toute ma force dans les muscles de ma mâchoire pour encore plus de dégât. C'est lui qui a foutu sa mission en l'air, en criant et en me jetant à terre pour défaire sa main de mes petites dents pointues. C'est là que Callahan est arrivé et c'était bien la première fois que je ne le voyais pas dans son uniforme. À peine entré dans le salon, qu'il tira sans aucun problème et d'une précision affligeante en pleine tête. J'aimais mon paternel, mais Callahan m'apportait le confort et l'assurance que mon père ne me donnait pas. Callahan ne me traitait pas comme une gamine, ni comme une princesse. Il m'avait « élevé » pour être une femme forte qui n'a besoin de personne pour se défendre.


Bucarest, Roumanie. 2014
« Et si nous commencions ? » Me lança-t-elle depuis son fauteuil, tout en remontant ses lunettes au-dessus de son nez. Parler, pourquoi devrais-je parler ? C'était la dernière chose que je voulais faire. Parler pour dire quoi ? Que je ne l'avais pas fait exprès ? Foutaise, bien entendu que je l'avais voulu. Expliquer que je vais mal, que je me sens misérable pour aucune raison réelle ? Pas besoin de l'expliquer, il suffisait de voir ma tête pour le comprendre. « Je n'ai pas envie de parler. » Lançais-je sèchement, tout en triturant un pompon du coussin que je tenais contre moi. « Valeska, il... » Pas le temps de lui laisser dire le dernier bout de sa stupide phrase que, je la remettais droit à sa place. « Ne m’appelez pas Valeska, on n'a pas élevé les cochons ensemble à ce que je sache. Pour vous, c'est Princesse. » Mais pour qui elle se prenait celle-là ? « Excusez-moi, Princesse. J'essaie juste de comprendre ce qu vous a poussé à... » « A quoi ? À vouloir me suicider ? » Voilà, à cause d'elle, je venais de le dire à haute voix. « Il vous faut me parler, sinon, vous ne vous en sortirez pas. » Me lança-t-elle depuis son fauteuil, tout en remontant ses lunettes au-dessus de son nez.  « J'ai dit que je ne voulais pas. » Mais elle va finir par comprendre à la fin celle-là ?! Je la regardais garder son cool et respirer profondément. Ses lunettes glissèrent à nouveau et mécaniquement, elle les releva. « Très bien, nous ne sommes pas obligées de parler, on peut faire autre chose, que voudriez-vous faire ? » « Clairement ? » Lui demandais-je, tout en la regardant de haut en bas. « Oui, allez-y. » Me poussa cette idiote de psy, un sourire aux lèvres. « J'aimerais vous enlever ses guenilles que vous appelez costume de travail mi-coton mi-polyester et leur foutre le feu. J'espère vraiment qu'avec l'argent que vous allez vous faire grâce à moi, vous comptez refaire votre garde-robe. Je suis même prête à vous payer moi-même, juste pour être sûr qu'au prochain rendez-vous, vous ne m'affligerez pas de vous regarder dans cette ignoble tenue. »

Et dire qu’elle m'a subit pendant six ans…


« Échec. » Lançais-je, tout en faisant tomber le pion adverse. Petru s’empressa de contre-attaquer, m’arrachant des doigts son chevalier pour le remettre à sa place. « Depuis quand, une tour se déplace de cette façon ? » Rétorqua-t-il d’une voix fatiguée, mais amusée. « Depuis que ce jeu m’ennuie à… » Je m’arrêtais bien avant de finir ma phrase pour éviter cette bourde monumentale que j’étais sur le point de commettre. À mourir, s’ennuyer à mourir… Ce terme avait été rayé de mon vocabulaire depuis l’annonce de la Leucémie de mon frère jumeau. À vrai dire, toutes phrases ayant le mot ‘mort’ ou ses dérivés étaient devenues interdites. « Tant bien même, ce n’est pas comme cela que se joue les échecs. Avoue-toi vaincu sœurette, c’est la seule façon.» Moi m’avouer vaincue ? Mon frère connaissait déjà la réponse à sa proposition, alors que je me penchais par-dessus le jeu pour le regarder droit dans les yeux. « Jamais. Les noirs vaincront et ce dessert, sera à moi ! » M’exclamais-je, avant de faire avancer ma tour.

Mon regard vacillait entre le visage pâle et si fin de Petru et cette poche remplit de ce poison qui coulait doucement dans son corps. Autour de nous, le son des machines résonnaient et une odeur de désinfectant me bouffait les narines à chaque respiration. Je détestais cet endroit et ce qu’il représentait pour moi : Petru mourant. Depuis cette nouvelle, Miss dépression était revenue plus présente que jamais et si je tentais de montrer bonne figure devant mon frangin, entre les murs de ma chambre, c’était tout autre chose. Je m’auto médicamentais à coup d’antidépresseur et de cigarettes. Un combo qui me permettait de gratter quelques heures de sommeil chaque nuit. Il n’y avait pas que la santé de Petru qui en prenait un coup, mais je fermais ma bouche, parce que mon frère était le plus important à cet instant. « OK ! Ok ! » Lançais-je, tout en levant les bras en l’air. « Je m’avoue vaincue ! Savoure ton dessert moi, je vais… Savourer autre chose. » J’attrapais ma veste en cuir et l’enfilais rapidement. Mes mains s’incrustant dans les poches pour venir y soutirer mon paquet de clopes.

Je connaissais le chemin jusqu’à la sortie la plus proche par cœur à force de rendre visiter à Petru. Un ascenseur, un second, une tonne de couloir à traverser et puis enfin, la délivrance. J’accueillais la brise douce mais froide à bras ouvert, remplissant mes poumons d’air frais encore et encore. Je n’avais pas besoin de regarder derrière moi pour savoir que mes deux gardes du corps me suivaient de très près, alors que j’allais m’installer dans un coin tranquille de la cour. Cour bien entendu privé et vide de toute autre personne. Enfin, c’est ce que je pensais. « Cousine ! » Lança une voix masculine de l’autre côté du terrain. Qu’est-ce qu’il foutait là lui ? Clope en bec, je tirais ma première latte, avant de regarder Lucian se présenter devant moi. Les deux gardes faisaient leur boulot comme des pros, se posant entre nous pour faire barrière. « Cousine, veux-tu bien dire à tes… Gardes, de me laisser passer ? Je souhaite seulement prendre de tes nouvelles. » Lança-t-il d’une voix amusé. Tel un dragon, je crachais la fumée de nicotine par le nez et restais silencieuse un instant. Avais-je vraiment envie de lui parler ? Prince Lucian, neveu du roi aka un sale con hypocrite et égoïste. « Laissez-nous. » Ordonnais-je, tout en tapant sur ma cigarette pour faire tomber la cendre. « Qu’est-ce qui nous vaut le déplaisir de ta présence, Lucian ? » Ses lèvres arboraient un sourire narquois, le genre qui n’annonçait rien de bon. « Je venais prendre des nouvelles du prince. » Répondit-il, tout en s’installant à mes côtés. Ce banc n’était pas assez long pour moi… « Petru n’est pas mort et si j’étais toi, je ne compterais pas là-dessus. » Ma phrase me valut un éclat de rire de sa part, un bruit des plus irritants qu’il soit. « Je peux toujours espérer, non ? Après tout, ne dît-on pas que l’espoir fait vivre ? » Mon sang était de glace à cet instant, ma rage elle, était tout aussi bouillante que la lave. « Surveille tes paroles, Lucian. » Grognais-je, tout en agrippant le bord du banc de pierre, avec ma main libre. « L’héritier sur son lit de mort, une princesse suicidaire et dépressive. Quelle loterie pour le roi de Roumanie ! Je me demande si ton père, s’est rendu compte à quel point, cette histoire est pathétique et honteuse pour la monarchie. » Lança-t-il nonchalamment. Ma réplique ne se fit pas attendre. Je plaquais ma main contre la sienne et ancrais mes ongles longs et manucuré dans sa peau. « Cher Cousin, nous savons tous les deux que, ce que tu souhaites si éperdument, ne sera jamais à toi. » Je tournais mon visage et le fusillais du regard, tout en continuant de lui infliger ma petite douleur. Le timbre de ma voix restait courtois, mais c’était loin d’être le cas de mes mots. « La couronne de Roumanie ne sera jamais tienne. Alors, au lieu d’infliger à Petru et à moi, ce genre d’instant aussi chiant qu’horripilant va résoudre tes problèmes avec ton père. C’est après tout lui, qui t’as coupé du droit de devenir roi en donnant les pleins pouvoirs à son frangin. » La tension radiait de tout son corps, une colère que je savais explosive, pour l’avoir connu dans le passer. Mais face à mes deux gardes du corps, Lucian n’oserait jamais porter la main sur moi. Et cela, était tout à mon avantage. « Tu n’es qu’une pétasse, que je prendrais grand soin de mater. » Souffla-t-il tout bas, pour que je sois la seule à l’entendre. « Comme tu le dis si bien, Lucian, l’espoir fait vivre. » Répondis-je, tapotant sa main meurtrie par mes soins, avant de retourner auprès de Petru.


Dubaï, Émirats arabes unis. 2020
Cela faisait trois jours, que j’étais enfermée dans la suite que je louais avec Petru, dans un hôtel cinq étoiles de la ville. Trois jours que j’étais possédée par des muses qui me poussaient à travailler sur une nouvelle toile comme une acharnée. Je devrais être dehors et célébrer la première année de rémission de mon frère jumeau, avec nos amis communs. Mais non, ma créativité avait jugé plus important de me donner de l'inspiration en plein milieu de nos vacances. J’avais proclamé le bureau de la suite comme étant mon territoire. Pièce, dans laquelle je restais enfermée pendant des heures. Je ne sortais que pour le strict minimum aka utilisé la salle-de-bain et dormir quelques heures. La peinture avait toujours été une part de mon être. Un moyen d’extérioriser mes pensées et mes émotions, afin d'éviter que celles-ci s’accumulent et me rendent folle. La princesse de Roumanie était tout autant connue pour l’amour de son pays, que pour ses toiles. Et le peu qui finissait sur le marché, se vendait comme des petits pains.

Un bruit contre la porte me fit sortir de ma concentration. « Il vaut mieux que cela soit important. » Lançais-je d’un Anglais presque parfait. La porte derrière moi s’ouvrir et je posais mon pinceau sur le rebord de mon chevalet, avant de me retourner. Derrière moi, je découvris l’un des employés de l’hôtel, qui s’empressa de s’incliner devant ma présence. « Je suis désolé de vous déranger, princesse. Mais une personne envoyée par l’Emir lui-même aimerait s’entretenir avec vous. » Le jeune homme s’empressa de faire quelques pas sur le côté, afin de laisser passer cette ‘personne’ en question. Curieuse, j’arquais un sourcil, tout en nettoyant mes mains à l’aide d’un chiffon. « Laissez-nous. » Ordonnais-je, attendant que l’employé ait fermé la porte derrière lui, avant de continuer de parler. « L’Emir Aksel Al Delkhalek vous envoie ? » Je posais mon attention sur l’élégance de son costume, il n’y avait pas à dire que le bougre savait comment se mettre en valeur. « Sa Majesté souhaiterait vous inviter votre frère et vous, à venir séjourner dans l’une ses propriétés. Je me dois de rester secret sur le lieu en question, mais je peux vous assurer que cet endroit est des plus paradisiaques et saura offrir à votre frère et à vous-même des moments inoubliables.» M’assurait-il, tout en sortant de sa poche une petite carte blanche. « Vraiment ? » J’arquais à nouveau mon sourcil tout en affichant un petit sourire sur le bout de mes lèvres. L’homme me tendit le papier orné d’un simple numéro de téléphone de couleur or. « Je ferai part de cette invitation à Petru et vous tiendrez au courant de notre… Possible arrivée. Veillez à remercier l’Emir pour sa générosité. Maintenant oust, car comme vous le voyez, je suis occupée. »



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