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 Isabella M. Santana

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Wild Bird
Wild Bird
Spirit

you're the fire and the flood

situation : Marié à Eoin Macken
activité : Pilote de chasse
quartier : Dublin, Irelande
avatar : Segovia Amil
pseudo : Little Wildling
crédit : WB + tumblr
mes têtes : we are many


MessageSujet: Isabella M. Santana   Isabella M. Santana EmptyDim 4 Jan - 14:05


TGV VERT MARGARITA BLUE LAGOON DIABOLO MENTHE
Santana, Isabella Mara




   
NOM(S) → Santana, un petit nom de famille brésilien. Toute la famille de mon père vient d’Amérique du Sud. PRÉNOM(S) → Isabella me vient de mon arrière-grand mère paternelle, mon père en était très proche, car c'est elle qui l'a élevé tout au long de son enfance et de son adolescence. C'est donc pour lui rendre hommage même si, elle n'est plus de ce monde oui, elle nous à quitter avant ma naissance. Pour ce qui est de mon second prénom, c'est une histoire amusante! Quand ma mère a rempli mes papiers de naissance, elle a oubliée un "i" entre le "r" et le "a". Je suis donc passé de Maria à Mara, j'avoue que ce n'est pas plus mal. j'aime mes prénoms, ils sont aussi joli l'un que l'autre.AGE → Vingt cinq ans pile! Je sais, je ne les fais pas, on me l'a déjà dit plus d'une fois.   DATE & LIEU DE NAISSANCE → Le 25 août 1989 à Los Angeles.NATIONALITÉ & ORIGINE → Je suis –si vous avez compris, de nationalité américaine. Pour ce qui est de mes origines, brésilienne de par mon père, anglaise et irlandaise du côté de ma mère. En gros, je suis pale comme un cachet d'aspirine 6 mois dans l'année et bien bronzée le reste du temps. ORIENTATION SEXUELLE → J'ai toujours préféré les hommes, surtout les grands bruns aux yeux bleus avec un torse de rêve et un sourire ravageur. ÉTUDES / MÉTIERS → Voleuse d'art professionnel, escroc et surtout à mon compte, y a pas vraiment d'études pour ça! Enfin, je suis tout de même allé à la fac pour y étudier l'art et le dessin.
   

   
Ta première cuite, c'était comment ? : J'avoue que je n'ai pas beaucoup de souvenirs de cette soirée où j'ai bu de l'alcool pour la première fois. C'était durant ma première fête en temps que lycéenne, j'avais tout juste dix-sept ans. Je ne pensais pas que cela arriverait, car je ne suis pas fan de bière à la base et soyons honnête, c'est à croire que les ados ne connaissent que ça ! Mais on m'a présenté un shot de tequila lemon et j'ai tout de suite adoré ça ! Je ne sais pas combien j'en ai bu, parce qu'à partir de cet instant-là, je n'ai plus de souvenirs jusqu'au lendemain. Je me souviens juste m'être éclatée comme une dingue, embrasser plusieurs garçons pour le fun et avoir bousillé un vase. Je me suis fait réveiller au petit matin par l'arrosage automatique... très rafraichissant.

   Tu t'es vu quand t'as bu ? : L'Isabella bourrée est assez marrante, elle a toujours le mot pour rire, quand elle ne fait pas des conneries. Elle parle beaucoup sur des sujets peu orthodoxes tels que les extraterrestres et le sens de la vie. J'ai l'impression d'être bipolaire, quand je suis bourré, parce que je suis tout ce que je ne suis pas en général, adorable, mais surtout câline et idiote.

   C'est quoi la pire chose que tu as fait bourré? : J'ai décoré de papier toilette le jardin d'une de mes profs de fac. C'était Halloween et cette femme m'avait mis la honte devant le reste de l'amphi. J'en ai mis partout pour me venger, dans les arbres, sur ses buissons, ses fleurs, sans oublier sa voiture sur laquelle, j'avais écrit en gros un vilain mot pour désigner une femme comme elle. Pourquoi je le regrette ? Parce que mes conneries m'ont menée à me faire prendre en plein délit ! J'ai fini la nuit au poste de police, heureusement la peau de vache n'avait pas porté plainte, car en échange de cette faveur, j'ai dû abandonner son cours.

   Tu es accro à quoi? : Je suis accro à l'adrénaline sous toutes ses formes. Cela m'est venu au fur et à mesure de mes vols. J'adore ce jet d'adrénaline qui se propulse partout dans mes veines à chaque fois que je suis sur un vilain coup. Savoir que je peux me faire choper à n'importe quel moment, que je dois me dépêcher tout en donnant le meilleur de moi-même, cela me booste tellement que j'en suis devenu addict. Ma deuxième addiction, c'est l'alcool, car c'est la seule chose qui arrive à me calmer. Il y a toujours un moment dans la journée où je vais me dire « j'ai besoin d'un verre, maintenant. » Je ne suis pas non plus une alcoolique, je ne bois pas à en devenir soûl.

   Infos et caractère : Commençons par la liste de mes qualités ! Je suis le genre de fille qui ne se prend pas la tête pour n'importe quoi, à vrai dire, je prends les choses avec une certaine distance. C'est un moyen pour moi d'encaisser les coups, sans réagir directement de façon excessive par la suite. Oui, de cette façon, je peux réfléchir à la meilleure solution, sans être complètement perturbée et croyez-moi, dans mon boulot, ça aide ! S'il y a bien une règle que je suis, c'est celle de ne jamais rien craindre, d'être audacieuse et de foncer quitte à prendre des coups au passage, parce que je ne veux rien regretter et me retourner sur mon passé en me disant que je n'aurais jamais dû hésiter. Je suis très observatrice, j'aime trouver tous les petits détails qui rendent une toile fantastique, décrypter le visage d'une personne pour savoir ce qu'il ou elle va dire, faire ou penser la seconde d'après. Durant plusieurs années et jusqu'à ma dernière année de lycée, j'ai fait de la gymnastique et gagné quelques médailles. Mes éléments de prédilection, c'était les barres parallèles et la poutre. J'ai gardé ma souplesse et ma grâce, que j'utilise à bon escient dans mon travail. Je suis tout de même resté sportive, jonglant entre pilâtes et session de fitness à la salle de gym. Mon premier amour, c'est l'art le second, la peinture. J'avais commencé par des leçons quand j'avais onze ans, d'abord sur feuille et puis petit à petit, je suis passé aux toiles. J'ai pu exploiter pleinement mon potentiel à la faculté afin de trouver mon propre style et affuter mon talent pour copier des œuvres de peintres célèbres. Bon passons à présent à mes défauts, y en a à la pelle. Le premier et surtout le pire, j'ai du mal à m'accrocher au gens, j'ai tellement eu été blessée dans ma vie qu'à chaque fois que je deviens proche d'une personne, ça se passe mal. J'ai tout de même des amis, mais aucun que je peux considérer comme confident ou meilleur ami. Enfin, il y en a bien un, mais je l'ai « quitté » on va dire, quand j'ai pris la fuite. J'ai tendance à leur montrer mon sale caractère quand ils s'approchent trop près. En parlant de sales caractères, vous savez ses personnes qui ont toujours un sarcasme à lancer ou une moquerie à dire pour ennuyer le monde et bien, j'en fais partie. Enfin, c'est aussi une mécanique de défense donc, ce n'est pas forcément voulu, si une remarque blessante sort de ma bouche. Je suis la reine, quand il s'agit de rouler les yeux ! Je suis du genre à faire des excès, à voir bien trop grand parce que je ne me satisfais pas de ce que je peux avoir, si je peux me procurer plus alors, je fonce.

Pour ce qui est de mes tics, tocs, habitudes et préférences et bien, j'ai cette manie avec mes télécommandes, elles doivent être alignées sur la table basse, de la plus petite à la plus grande. J'ai le même problème avec mes bouteilles de shampoing, mes chaussures, ainsi que pour mes robes. Je déteste montrer ma peur, c'est pour moi un signe de faiblesse, alors dans ces moments-là, au lieu de faire de gros yeux et une grimace, je ressors mon insulte favorite, que je vais répéter dix fois de suite de plus en plus fortes. Quand je suis concentré, je fais cette même mimique qui consiste à me mordre la lèvre et de la garder coincée pendant un bout de temps. Je porte la plus part du temps du noir et quelques couleurs pastel, mais jamais rien de flashy. La musique rythme ma vie, j'ai toujours mon ipod sur moi et ma chaine hi-fi allumer quand je suis à la maison. J'écoute un peu de tout, ça passe du classique et opéra, aux chansons de nos jours. Je préfère les bains aux douches, mais faut qu'il y ait une tonne de mousse, de la musique et des bougies à chaque fois.  



Olààà !  Alors, moi mon petit prénom c’est  Elodie , dans le monde du net je suis plus connu sous WILD BIRD voir Indie pour les intimes.  Je suis sûre que vous êtes plus jeune que moi, car moi ça fait   88 ans  que je squatte la terre.  Mon personnage sort tout droit  de ma petite tête blonde, j’ai découvert BOI grâce à lkd, la créatrice du forum.  Je serais là tout les jours  pour faire vivre blame on it, que je trouve tout simplement awesome






 
Life as an art thief is very simple: want, make a plan, take, have and run friggin' fast.

 

How to be me
well, that's actually all about DNA.

Ma famille n'avait rien de normale, tout comme elle ne pouvait pas se classer dans une catégorie prédéfinie. Il a toujours été question de seulement trois personnes chez les Santana, ma mère Apple, mon paternel Ioan et moi, Isabella. Pas de grand-frère hyper protecteur et encore moins de petite soeur qui vous donne des envies de griffer et de mordre. Nous vivions tous ensemble d'un petit appartement juste assez grand pour nous, il n'y avait pas de balcon où prendre un petit-déjeuner le matin, pas de jardin dans lequel jouer pendant des heures, mais là vue depuis nos fenêtres était tout de même magnifique. J'étais la petite fille à son papa, la prunelle de ses yeux, sa plus grande fierté et j'osais même penser que ma mère était parfois jalouse de nous voir aussi proche. Avoir des enfants avait toujours été le rêve de mon paternel au contraire de ma chère maman qui ne se voyait pas vraiment élever des enfants. Il faisait tout pour me rendre heureuse, passant des heures à mes côtés pour m'apprendre des tonnes de choses sur mon héritage, d'où il venait et pourquoi c'était tellement important de connaitre ses racines. Moi, je l'écoutais sans rien dire, absorbant toutes ses informations qui allaient me servir un jour ou l'autre. J'avais même le droit à des cours de portugais, car après tout, j'étais à moitié brésilienne et je me devais de savoir parler la langue natale de mon papai. Ma mère détestait nous voir parler entre nous dans cette langue, elle ne comprenait jamais ce que nous disions et cela la frustrait au plus haut point.

« Bonne nuit, querida. » Murmura mon père tout en déposant un bisou sur ma petite tête blonde. Je battais avec le sommeil, concentrant toutes mes forces pour ne pas m'endormir. Je voulais rester éveillée encore pour écouter mon papai me raconter l'histoire d'Alice au pays des merveilles. Mon père avait une voix apaisante et s'il n'était pas à mon chevet, quand il était question d'aller au lit, alors je n'arrivais pas à bien m'endormir. « Continues papai, por favor. » Soufflais-je, en ouvrant mes petits yeux. Je posais mon regard sur mon paternel, remarquant se sourire tendre qu'il avait sur mes lèvres. Il posa le livre que nous venions de terminer de lire sur ma table de chevet et s'installa dans le fauteuil, avant de passer sa main sur ses yeux fatigués. « Comment c'était quand tu étais petit ? Tu t'amusais ? » J'adorais l'écouter parler de son temps au Brésil, de son passé que je trouvais tellement intéressant. « Bien sûr que je m'amusais, querida. Ton arrière-grand-mère faisait tout son possible pour que je passe du bon temps. Parfois, elle m'amenait sur une petite île pas loin de chez nous et là-bas, nous passions nos après-midi à la plage. L'eau était tellement clair qu'on pouvait voir tous les petits poissons nager et puis au loin, il y avait les dauphins qui sautaient haut dans les airs avant de replonger. » J'étais émerveillée par ses souvenirs, jamais je n'avais vu de dauphin de toute ma vie et la seule plage que je connaissais n'avait rien de très joli. Je l'écoutais me raconter ses aventures sur cette île, les yeux et les oreilles grands ouverts. « Papai, est-ce qu'on ira là-bas, un jour ? » Murmurais-je alors que le sommeil gagnait. Mon paternel ne répondit pas tout de suite, à vrai dire quelques secondes passèrent avant qu'il ne reprenne la parole. « J'espère, oui... Dors maintenant. » Il déposa un second bisou sur mon front, soufflant un « Eu te amo, querida. » Avant de s'en aller.

Vous dire que nous sommes allés sur cette île tous ensemble pour des vacances en famille, ce serait un mensonge. La famille Santana n'avait jamais roulé sur l'or, mais ce n'était pas ce qui manquait le plus dans nos vies. Je n'en voulais pas à ma mère d'avoir divorcé de mon père. Je le comprenais d'une certaine façon parce qu'il n'avait jamais été le genre de personne sur qui on pouvait vraiment compter. J'aimais mon père plus que tout au monde, mais il n'était pas parfait, juste humain et tout être vivant à ses imperfections. Maman a eu ce qu'elle voulait au final, épousant une dizaine de mois plus tard, un homme qui pouvait lui offrir tout ce dont elle avait besoin, le luxe, des bijoux à foison etc. Oui, ma mère à toujours rêver de nager dans l'argent bien plus que dans le bonheur. Moi, je faisais avec, vivant dans ce même appartement avec mon paternel et après nous êtres habitué à ne plus avoir Apple dans les pattes et bien, nous avions continué nos petites vies tranquillement. Je voyais ma mère une à deux fois par semaine et à chaque rendez-vous, j'étais témoin de son changement. Elle était devenue quelqu'un d'autre oui, Apple n'était plus la maman que je connaissais. Disons qu'elle avait pris la grosse tête au point de m'appeler Isis parce que son mari était un fan de l'Egypte et du temps des pharaons. La voir dans cet état et bien...cela m'a aidé dans un sens, je gardais mes pieds bien accrochés au sol, parce que je ne voulais en aucun cas tourner comme elle. À la maison, les choses allaient de bon train, mon père continuait de m'apprendre tout ce qu'il savait. À force, je comprenais quel genre d'homme il était et pourquoi il rentrait souvent les poches pleines de cash.

How to be an art thief
it's more harder that it looks!

Je pensais que je n'avais jamais eu d'autre choix que de devenir ce que j'étais, une voleuse d'art, un escroc. J'aurais pu devenir avocate, chirurgienne voir même institutrice, mais cet océan dans lequel j'avais baigné depuis ma naissance ne m'avait pas donné plus de possibilités. Peut-être parce que les émotions qui m'entouraient étaient trop fortes ou parce que j'étais bien trop curieuse et que j'étais accro à l'adrénaline. Ne vous méprenez pas, j'adorais ce que je faisais et je ne voulais rien changer, même pas pour la plus belle pièce d'art au monde. En fait, je croyais que c'était plus comme une recette, ajoutez le goût du luxe de ma mère, le talent pour faire disparaître les choses de mon père, mélangez le tout, secouez le bien et voilà, vous m'avez moi ! Mais c'est plus une recette de cocktails et que de gâteau. Avec mon père, j'avais appris quelques petits tours, rien de bien méchant, il faut dire que celui-ci voulait me voir réussir dans la vie et non pas plonger dans les problèmes comme lui faisait. J'avais accepté son souhait, du moins pendant un temps, me concentrant sur ma passion prenait, la peinture. Une fois le lycée passé, je me vis offrir une place dans une école d'art plastique, j'avais bien entendu soupçonné mon père d'avoir tiré quelques ficelles et allongé l'argent suffisant pour les pousser à m'offrir un siège. J'avais donc quitté cet appartement dans lequel j'avais grandi, m'installant dans un petit studio tellement petit que cela en était ridicule. Je me concentrais sur mes études, mais ce besoin de me prouver ce dont j'étais capable grandissait en moi. Je continuais donc à faire quelques petits coups tout simples, rien de très méchant. Il était juste question de voler des portes feuilles de certains passants, histoire de ne pas perdre mon habileté. Et puis un jour, j'ai eu la malchance de voler les affaires de ce gars.

Il avait arrêté ma main alors que, je venais tout juste de la passer sous sa veste pour attraper son portefeuille. Sans attendre, ma cible m'avait entrainé en moins de deux secondes dans une petite ruelle, avant de me plaquer contre le mur. « Tu sais, tu pourrais faire mieux. » Lança-t-il, tout en gardant sa main autour de mon poignet qu'il serait juste assez fort pour ne pas me lâcher. « Ça fait un moment que je t'ai remarqué et je dois avouer que tu es plutôt douée pour une gamine. » Je clignais plusieurs fois des yeux, emmagasinant tout ce qu'il me disait tout en me demandant si je rêvais. D'un coup sec, je retirais mon bras de son emprise, passant ma main là où la sienne venait de laisser une légère trace rouge. « Premièrement, je ne suis pas une gamine, deuxièmement, pour qui tu te prends ? » Comme toute réponse, j'eus le droit à un petit rire moqueur. Il était plus vieux que moi de cinq années, voir même un peu plus. J'avais pris une seconde pour l'observer, remarquant son regard bleu azure qui me transperçait, sa tenue impeccable et sa barbe de quelques jours ? Dans d'autres circonstances, les choses se seraient passées bien différemment. « Pour quelqu'un qui préfère juger par lui-même, avant d'investir. » Je secouais la tête, ne comprenant rien de ce qu'il me disait. Il n'avait pas bougé d'un pouce, restant à quelques centimètres de mon corps. « Investir ? Non mais c'est quoi ces conneries ?! » Poussais-je avant de le pousser et de marcher en direction de la grande rue. « Tu veux entendre ce que j'ai à dire, Isabella. » L'entendre dire mon prénom me stoppa sur place. Je fis volte face, tellement rapidement que je perdis l'équilibre pendant une fraction de seconde. « Mais t'es qui toi ? » J'eus encore le droit à son sourire moqueur ancré sur le coin de ses lèvres. « Mon nom est Carter. »

Cet homme fut beaucoup de choses pour moi, un mentor, un ami, un confident et -parce que bien entendu, les choses allaient se terminer comme ça, un amant. Depuis le jour de notre rencontre, il m'a appris tout ce que mon père n'avait jamais voulu me révéler et même bien plus. Carter a fait évoluer mon talent, y intégrant ma première passion. Je faisais tout ce que j'aimais et en plus de cela, ça payait plutôt bien. C'était un voleur d'art, volant tout objet susceptible de plaire au plus grand acheteur d'art sur le marché. Grâce à lui, je suis entrée dans un monde dans lequel je me sentais bien et où je m'épanouissais telle une jolie fleur. Il n'était cependant pas vraiment question d'amour avec un grand A entre Carter et moi. Certes, il y avait un lien très fort entre nous, mais on ne pouvait pas vraiment parler de nous comme d'un couple. Pourquoi ? Parce que je savais depuis le premier jour, que je ne pouvais pas lui faire confiance. Règle numéro une dans le code des escrocs, ne jamais faire confiance à un collègue encore plus quand celui-ci à un égo parfois sur-dimensionné. Mais bon, que voulez-vous, il était aussi beau qu'Apollon lui-même et moi, je pouvais tout simplement par résister.

How to screw a perfect plan
make a freaking bad choice, that'll do.

Les années étaient passées, j'avais à présent vingt-cinq ans, la faculté était derrière moi maintenant et au lieu de trouver un travail avec mon diplôme d'art et bien, j'ai fais les seule choses pour lesquelles, j'étais plus que douée : la reproduction d'art et le vole. Je ne me voyais pas travailler autre part de toute façon, j'aimais bien trop ça pour changer de carrière. Depuis le jour de ma rencontre avec Carter, beaucoup de choses ont changé. D'abord mon père qui se fait arrêter pour complice de vole et qui finit en prison, purgeant une peine de dix ans pour un plan dans lequel, il n'aurait jamais dû mettre les pieds et puis, ma mère qui à plein milieu de la quarantaine s'était retrouvée enceinte. Sauf que je ne faisais plus vraiment partie de sa famille, j'étais plus un souvenir de son passé qui faisait tache dans le portrait de famille. J'avais appris à me détacher de ce genre de chose, afin de ne pas autant en souffrir. J'allais bien et même si mon père était derrière les barreaux, j'étais toujours restée la prunelle de ses yeux, sa querida qui à présent devait s'occuper de lui. Oui, j'allais bien, car j'avais appris à compter sur moi-même.

C'était notre plus grand coup, mais surtout le dernier. Un riche qui ne savait pas quoi faire de son argent avait pris contact avec Carter pour lui proposer un deal. On lui rapportait une certaine oeuvre et d'art et on empochait un pactole à la sortie. Le plan s'était créé sur plusieurs semaines durant lesquelles, nous avions dû jouer les espions pour apprendre le plus d'information possible sur notre cible et son propriétaire. Encore une fois, j'avais mis en pratique mes talents de gymnaste et de peintre, m'entraînant encore et encore pour faire la meilleure copie possible du tableau et pour passer sans aucun problème dans les tubes d'aération. Le soir du casse, j'avais embrassé comme à mon habitude, Carter pour un lucky kiss avant de jouer les petites souris. Tout se passait comme prévu, mais tout pris une mauvaise tournure quand cette pourriture de partenaire décider de ce la jouer comme Han...Solo. Il m'avait planté là, me menottant à l'un des radiateurs du salon avant de s'enfuir avec le tableau. J'ai cru que j'étais foutu alors que l'alarme c'était mise à résonner partout dans l'appartement, parce que oui, il voulait à tout prix que je me fasse choper. J'étais furieuse en plus d'avoir la peur de ma vie. Il fallait que je m'en sorte, que je me venge et surtout que je mette mon poing dans la figure de cette enflure. Alors, j'ai dû utiliser mon dernier recours. Je pouvais encore entendre l'os de mon pouce se briser alors que je tirais dessus comme une folle. Cela me faisait un mal de chien, mais bizarrement la colère atteignait la douleur. En cassant ce doigt, je pus sortir ma main de l'anneau des menottes, sauf que même si j'étais libre, je devais encore foutre le camp de cet endroit. Il était bien entendu hors de question de passer par là où je venais d'arriver et encore moins de passer par les escaliers de secours. Je pris donc une seconde fois mon courage à deux mains avant de me jeter dans le tuyau du vide-ordure. Je ne savais pas combien il y avait de mètre entre le troisième étage de l'immeuble et la benne, mais une chose était sûre, j'avais bien ressenti miss gravité. La police n'était pas loin, je pouvais entendre les sirènes se rapprocher de plus en plus, je devais cependant, me la jouer cool et faire comme si de rien n'était. J'avais enfilé une veste qui reposait sur l'une des poubelles, couvrant ma tenue et me mis à marcher en direction du studio de Carter. J'étais folle furieuse, sans parler de mon pouce qui me faisait souffrir.


Il m'avait fallu un peu plus d'une heure pour faire toute la distance, mais j'arrivais tout de même chez lui, sur la pointe de pied. Je l'avais retrouvé endormi dans son lit, un grand sourire aux lèvres. Sans faire de bruit, j'attrapais des attaches de serrage en plastique et m'approchais du lit, attachant l'une des mains de Carter à la monture en acier du lit. Bien entendu, j'avais bien serré, évitant de faire l'erreur qu'il avait fait avec les menottes. Ensuite, j'ai pris mon élan avant de lui balancer un uppercut sur sa jolie figure. « Rise and shine, dumass ! » M'exclamais-je alors qu'il se réveillait en sursaut, avant d'être stoppé par l'attache en plastique. « Isa ?! » Il me regardait surpris de me voir devant lui et pas en plein bavardage avec la police. « Ordure ! » Criais-je avant de lui en mettre une autre. Ma main me faisait un mal de chien, mais je n'en avais rien à faire. « C'est fini, Carter, je mets fin à notre partenariat ! Avec compensation, bien entendu. » Ajoutais-je, tout en clignant plusieurs fois des yeux. Je me dirigeais jusqu'au coffre-fort, là où était caché le tableau. J'attrapais une valise assez grande pour y mettre l’œuvre et l'ouvris en grand avant d'enlever la décoration qui cachait derrière elle le coffre. « Si tu crois que je vais te donner le code... » Dit-il en serrant les dents. Je l'entendais se débattre, mais aussi jurer à cause de la douleur. « Tu sais, mon père n'est pas aussi doué que toi, mais il m'a tout de même appris une chose : Ne jamais faire confiance à un escroc, parce qu'à un moment où un autre, l'appât du gain lui sera bien trop fort pour qu'il y résiste. Depuis le premier jour, j'étais sûre que te faire entièrement confiance serait une erreur. Je suis contente de voir que j'ai eu raison. Alors, tu vois le code du tableau, celui que tu n'as jamais voulu me donner et bien devines quoi ! Je le connais ! » M'exclamais-je un grand sourire aux lèvres. « Je suis peut-être blonde, Carter, mais je ne suis pas conne pour autant. » Ajoutais-je en tapotant ma petite tête. En cinq minutes, j'en avais fini, le tableau était en ma possession, ainsi qu'une petite somme d'argent qui traînait au fond du coffre. J'avais passé un gros morceau de scotch sur la bouche de Carter, après l'avoir assommé et passer une autre attache en plastique à son autre poignet. « Ne t'inquiètes pas, j'appellerais des gens qui prendront grand soin de toi. » Murmurais-je à son oreille alors qu'il se réveillait en gémissant. « Au revoir, Carter. »

How to get away with a lot of ca$h
It's not like in movies, it's scary and not easy.

Je n'ai pas attendu pour vendre le tableau, il faut dire que mon temps était compté, que j'avais beaucoup de choses à faire, mais pas beaucoup de temps. Je doutais bien qu'une fois Carter libre, il essaierait de me retrouver afin de me stopper. De plus, si je ne voulais pas avoir la police à mes trousses à cause d'hier soir, il fallait que je foute le camp de Los Angeles le plus vite possible et je savais parfaitement qu'elle serait ma destination. J'avais besoin d'un nouveau départ, de me faire petite pendant un temps et surtout que je sache ce que j'allais devoir faire. Heureusement pour moi, j'avais cette faculté à trier les problèmes et de trouver les meilleures résolutions.

J'arrivais donc chez l'acheteur à cinq heures du matin avec pas seulement la toile sous mon bras, mais aussi une valise dans laquelle, j'avais jeté quelques habits et des affaires importantes. « Vous êtes hâtive de me vendre cette toile, mademoiselle? » Lança l'homme en m'accueillant dans le salon de sa villa. « Il y a eu un changement dans notre plan, demain ne peut pas attendre, pour le transfert. » Expliquais-je, tout en déposant la valise sur la table. J'ouvris la mallette découvrant l’œuvre devant ses yeux. « Elle est votre, à vous de conclure notre deal, monsieur. » Je le regardais observer avec merveille sa nouvelle acquisition et puis il se releva et claqua des doigts. « Je m'occupe de ce pas du transfert de l'argent. » Je secouais la tête avant de lui donner le papier sur lequel était marqué le numéro d'un compte. « Monsieur Johnson est hors de cette affaire, depuis qu'il a décidé de se la jouer solo, l'argent me revient. » Je lui tendis le papier devant son air surpris, mais il n'attendit pas avant de le prendre et de le donner à son garde. « Je suis navré d'entendre qu'il y ait eu une certaine mésentente. » Le garde nous hocha de la tête, nous faisant signe que l'argent venait d'être transféré. Je soupirais de soulagement à l'idée que la vente était enfin close et que je pouvais avancer dans mon nouveau plan. J'étais tellement nerveuse, que je sentais ce nœud dans mon estomac et cette envie de vomir devenir de plus en plus pressante. « Puis-je vous demande une faveur ? » Demandais-je, alors qu'il me menait jusqu'à la porte d'entrée. « Je sais que vous avez un jet privé... » Lança-t-il avant de me couper la parole. « Je peux vous l'apprêter dans une heure. » Soulager de l'entendre dire cela, je soufflais à nouveau avant de lui serrer la main. « Merci. Si monsieur Carter ose se montrer, je pense que vous ferez preuve d'une certaine forme d'hospitalité envers lui. » Le garde me fit un sourire assuré alors que, je venais de poser les yeux sur lui et je ne pus m'empêcher de rire doucement, alors que je sortis de la demeure.

Bien entendu, il n'était pas question de prendre le jet de monsieur Parker, mais plutôt de le prétendre, afin de guider qui que ce soit sur une fausse piste. Aux fils des années avec Carter, j'avais lié beaucoup de contact, mais j'avais aussi rencontré d'autre personne hors de son cercle d'amis, je me préparais à tout. J'avais plusieurs allias et plusieurs passeports, mais il y en avait un que j'avais toujours gardé cacher et ce jour-là, je l'avais utilisé pour la première fois. Passé la douane avait été stressant, mais tout s'était déroulé sans aucun problème. J'avais été aux aguets tout le long de l'attente, me cachant sous une paire de lunette et la capuche de ma veste. De Los Angeles à Recife, le vol avait été court, j'avais dormi tout le long, croulant sur la fatigue accumulée à cause de cette histoire. J'en voulais tellement à Carter, mais aussi à moi pour ne pas l'avoir vu venir plus tôt. Sauf que toute la peur et la colère qui était en moi s'étaient évaporées alors que la douche chaleur du soleil du Brésil me réchauffait la peau. Toutefois, je passais pour une cinglée alors que, les émotions refoulée me firent pleurer comme un bébé, dans le terminal de l'aéroport.

How to start a new life
actually I don't even know...

Le destin m'avait forcé à commencer une nouvelle vie, bien que je préférais penser que Carter en était la cause et que les choses auraient pu tourner d'une autre façon... Quand j'ai su qu'il allait me falloir changer de pays, l'île sur laquelle, mon père avait passé la plupart de son enfance m'était venue en tête et l'idée de m'y installer avait été d'une grande et claire évidence. D'une certaine façon, j'étais proche de lui tout en étant à des milliers de kilomètres de Los Angeles. Mon père me manquait tellement, j'avais l'habitude de venir le voir au moins trois fois par semaine et là, je ne savais pas même pas, quand est-ce que je le reverrais à nouveau. Chaque jour, je me retenais de composer le numéro de téléphone de la prison, afin d'entendre sa voix qui m'était si rassurante. Une fois arrivée sur l'île, j'avais posé mes bagages dans une petite villa sur le bord de la plage. Jamais, je n'aurais pensé pouvoir me payer ce genre de maison, mais l'argent gagné par la vente du tableau me permettait de passer une grande partie de ma vie sous le soleil du Brésil. Sans compter toutes mes économies que j'avais accumulées avec le temps et mes escroqueries. Je gardais un oeil sur l'affaire à Los Angeles, apprenant de cette façon qu'une photo de moi fuyant l'immeuble avait été prise avec l'une des caméras de circulation de la ville. Mon visage était caché, mais on pouvait tout de même dessiner une partie de ma tête.


Il me fallait oublier mon passé, oublier ma vie à Los Angeles pour me faire ma place dans ce monde inconnu et qui était pourtant quelque peu familier, grâce aux histoires de mon papai. Je me sentais chez moi d'une certaine façon, car après tout, cet endroit faisait partie de mes origines. J'avais commencé à visiter cette petite île adorant chaque nouvelle chose que je voyais pour la première fois. Les dauphins nageant au loin dans l'océan étaient toujours là, les eaux étaient toujours aussi transparentes et il n'y avait pas un déchet sur les plages. Cela me faisait tout de même légèrement bizarre de devoir parler en portugais tous les jours, même avec mon père, nous glissions des mots anglais dans nos discutions. Je me sentais connectée à mes origines, mais surtout à mon père qui avait foulé le sol autrefois. Mais vient un moment où la phase lune de miel s'efface pour laisser la réalité reprendre sa place. J'étais heureuse oui, mais mon père me manquait terriblement tout comme Los Angeles et mes habitudes de citadine. Je ne pouvais plus résister à cette envie de reprendre contact avec lui. J'avais appris quelques informations susceptibles de m'aider pour avoir mon papai au téléphone. J'allais me faire passer pour la secrétaire de son avocat en passant l'appel par différents satellites.

Et alors que les coups de téléphone retentissaient, les larmes me montaient aux yeux et je ne pus me contenir d'éclater en sanglots alors que le garde venait de donner le combiné à mon paternel. « Allo ? » Demanda cette voix qui me manquait tellement. « Papai, c'est moi. » Soufflais-je, tout en m'installant sur les marches de la terrasse, le regard posé sur le soleil qui se couchait sur l'océan. « Querida ? » Je ne pus retenir un autre sanglot en l'entendant m'appeler par mon surnom. « Oui, mais fait semblant que c'est la secrétaire de ton idiot d'avocat, personne ne doit savoir que c'est moi. Tu me manques tellement, papai. » Soufflais-je, tout en essuyant ma joue du revers de ma main. « Où es-tu ? Carter te cherches. » Je n'étais pas étonnée par cette nouvelle, je connaissais cet homme pour savoir qu'il ne comptait pas en rester là. « Moins tu en sais, mieux sait. Ne dis rien à Carter, même pas que je t'ai appelé. Cette ordure a essayé de me berner, mais je m'en suis tiré à son plus grand malheur. » Je pouvais entendre le soupir de mon père de l'autre côté de la ligne, il ne l'avait jamais vraiment aimé et il avait eu raison d'être suspicieux à son égard. « Je vais bien papai, ne t'inquiètes pas. À vrai dire, je n'ai pas à me plaindre. Je...je vais faire profil bas pendant un temps, avant de revenir. Promis, dès que je ne crains plus rien, que l'histoire est close et enterrée, je prendrais un billet direct pour L.A. » Il se faisait du souci pour moi et j'espérais que le peu de chose, dont je lui faisais par, réussirait à le soulager. « Tant que tu vas bien, c'est le principal. Fais tout de même attention à toi. » Je hochais de la tête, même s'il était impossible à mon père de me voir faire. Ma gorge était tellement serrée que déglutir me faisait mal, je passais donc ma main dessus, avant de glisser celle-ci dans ma chevelure. « Promis. Je dois couper la conversation papai. Je prendrais de tes nouvelles bientôt, je t'aime. » Rien que dire ses trois mots, les pleures reprirent de plus belle, me brouillant la vue. « Eu te amo, querida. » Rétorqua-t-il avec une petite voix émue. « C'est tout aussi beau que dans tes histoires, papai... » Avouais-je pour lui donner un indice sur ma location. C'était juste assez pour lui faire comprendre que j'étais sur Fernando De Noronha. « Bye papai... » Je raccrochais le téléphone et le posais à mes côtés, avant de passer mes mains sur mon visage. Je me berçais d'avant en arrière, tout en laissant les larmes couler.
 


 
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MessageSujet: Re: Isabella M. Santana   Isabella M. Santana EmptyDim 4 Jan - 14:08

Isabella Mara Santana
I'm a street walking cheetah with a heart full of napalm. I'm a runaway daughter of the nuclear A-bomb. Look out honey 'cause I'm using technology ! Ain't got time to make no apology.

25 yo nouvelle ici voleuse & escroc américaine

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❝F❞ like female, "f" like friend. I'm looking for her, did you see her? Maybe once or twice at the bar, on the streets or even in a coffee shop! Well if someday you see her, you can say that she's one lucky girl because she's everything to me and I take care of her



❝M❞ like male, "m" like my god is gorgeous! I'm looking for him, did you see him? I think he likes taking a drink or two at that bar, he's got the most amazing eyes I've ever seen! He's walks like a real man, with his hand in his pockets and a seductive smile on his beautiful face.
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MessageSujet: Re: Isabella M. Santana   Isabella M. Santana EmptyDim 4 Jan - 14:08

Shiny Happy people

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MessageSujet: Re: Isabella M. Santana   Isabella M. Santana EmptyDim 4 Jan - 14:08


LIBRE RESERVE
Au choix, Carter Au choix



NOM(S) → Je vous laisse choisir, tant que cela reste anglais ou irlandais, enfin comme vous le sentez. PRÉNOM(S) → Dans ma présentation, je l'ai appelé Carter, pour ce qui est du second, je vous laisse le choix DATE & LIEU DE NAISSANCE → Il peut être né où vous voulez, par contre, il vit à à Los Angeles depuis plus d'une quinzaine d'années. NATIONALITÉ & ORIGINE → Il est américain, pour les origines, je vous laisse choisir. STATUT CIVIL → Célibataire, il aime trop sa liberté pour vivre quelque chose de sérieux. Carter est du genre à rester au maximum trois semaines avec la même femme, avant de la jeter. Enfin, il y avait bien Isabella, mais pour les deux, c'était juste pour coucher, rien d'autre.ORIENTATION SEXUELLE → Hétéro CARACTERE → Intelligent, sarcastique, observateur, franc, professionnel, manipulateur, discret, séducteur, manuel, borné, méfiant. ÉTUDES / MÉTIERS → Carter est un voleur et escroc, c'est l'un des meilleurs dans ce métier. Isabella était sont associée, ensemble il fait un bon duo. C'est lui qui a mis la main dessus et lui à tout appris. GROUPE → Au choix, mais je le vois mal être diabolo menthe. CREDIT → tumblr

once upon a time ...
our story ...


➸ Je le voyais bien venir d'une famille pauvre à problème, un père abusif, une mère alcoolique. Soit il a vécu son enfance et son adolescence avec eux soit, il a été placé chez des tuteurs, quand il avait douze-treize ans, reprit par les services sociaux pour mauvais traitements. Il peut avoir des frères et soeur, tout comme être fils unique.
➸ Il a toujours été passionné par l'art, cette passion lui est venue, alors qu'il visitait une galerie lors d'une excursion avec sa classe. Carter avait dans les environs de huit ans.
➸ Bien qu'il soit connu comme voleur d'art et escro dans le monde du "crime", Carter est doué dans la planification, la création de fausses identités et dans la communication, le jeune homme est en contact avec tellement de personnes, qu'il a créé son propre réseau.
➸ Il a connu Isabella à l'université, non pas en tant qu'étudiant lui-même, mais parce qu'il était curieux et qu'il cherchait à recruter son ou son prochain/e associé/e. C'était durant une soirée organisée pour mettre en avant les meilleures peintures et sculptures créées par les étudiants. Il est tombé sur deux oeuvres d'Isabella et il ne lui en a pas fallu plus pour la choisir. Il ne l'a pas rencontrer de suite, préférant comme toujours faire ses recherches sur la miss avant tout contacte. Bien entendu, Isabella était une vraie perle, avec son passé, car Isabella plonge depuis toute petite dans ce même monde, avec son père emprisonné pour complicité durant plusieurs braquages.
➸ La rencontre, est écrite dans ma présentation et figure dans la colonne d'à côté. N'hésitez pas à vous en inspirer.
➸ Alors qu'il avait un nouveau client, Carter voulant se la jouer comme Han -c'est-à-dire, en solo (si vous n'avez pas compris ma blague légèrement pitoyable: Star wars, Han Solo et Chewbacca....se la jouer solo...je me tais : arrow): ) à décider de trahir la blondinette. Durant le cambriolage, il l'a menotté à un radiateur, avant de prendre la toile et de s'enfuir, pensant que la demoiselle allait prendre tout le blâme. Lui comptait partir le lendemain pour une autre destination, mais manque de chance pour lui, le père d'Isabella lui a appris beaucoup de choses, dont comment se défaire de menotte et crocheter des serrures (entre autres). Pour en savoir plus, pareil, j'ai écrit cette partie dans ma présa et vous pouvez le retrouver dans la colonne d'à côté.
➸ Après cette histoire, il a eu pas mal d’ennuis que ce soit avec d'autres "collègues" qui étaient amis avec Isa ou la police bien curieuse d'en savoir plus sur Isabella, car celle-ci à été filmer par une caméra du trafic routier, sortant de la ruelle derrière l'immeuble. Bien entendu, il a rien dit, parce qu'il en a pas fini avec la jeune femme. Monsieur veut son argent.
➸ Carter décide de la retrouver et met tout en place pour y parvenir. Il y arrive deux mois plus tard, en cuisinant le père d'Isabella et en faisant des recherches.
➸ Il débarque donc à Fernando de Noronha quelques jours plus tard, avec en tête de mettre la main sur Isabella pour qu'elle lui donne l'argent.
➸ Dans l'avion, il fait connaissance d'une brunette qui attire direct, son attention. Elle est célibataire avec un joli minois et un rire cristallin. ce fut assez pour lui donner envie de la séduire.

Isabella M. Santana aka Ashley Benson et là tu racontes ton histoire avec ce scénario ! Qui il est pour toi ? Important ? Une personne que tu hais, que tu aimes ? Un ou une inconnu(e) ? Lâche tout ce que tu veux sur vous deux ici, la personne sera heureuse de te lire mon asticot. et là tu racontes ton histoire avec ce scénario ! Qui il est pour toi ? Important ? Une personne que tu hais, que tu aimes ? Un ou une inconnu(e) ? Lâche tout ce que tu veux sur vous deux ici, la personne sera heureuse de te lire mon asticot. et là tu racontes ton histoire avec ce scénario ! Qui il est pour toi ? Important ? Une personne que tu hais, que tu aimes ? Un ou une inconnu(e) ? Lâche tout ce que tu veux sur vous deux ici, la personne sera heureuse de te lire mon asticot.

Calypso L. M aka Ashley Benson

Mes attentes !




Alors, ici ce n'est pas bien compliqué! Tu dis ce que tu veux pour attirer l'intention de ton futur scénario. Si, si je vous jure, même dire que vous lui ferez des bébés, que vous boirez tout l'alcool possible, que vous lui filerez de l'argent ou votre corps ! Enfin, faut pas ce gêner pour dire des bêtises, en clair !

avatar ⇢ Là, tu dis ce qui en est de la tête de ton scénario ! Aprés vous présentez ça comme vous le voulez

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