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 Haden maaaa

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Wild Bird
Wild Bird
Spirit

you're the fire and the flood

situation : Marié à Eoin Macken
activité : Pilote de chasse
quartier : Dublin, Irelande
avatar : Segovia Amil
pseudo : Little Wildling
crédit : WB + tumblr
mes têtes : we are many


MessageSujet: Haden maaaa   Haden maaaa EmptyDim 4 Jan - 14:07

TGV VERT MARGARITA BLUE LAGOON DIABOLO MENTHE
Matheson-Landers, Haden Tyler






NOM(S) → Mes parents n'ont jamais passé le cap du mariage, peut-être par peur de l'engagement ou parce que tous les deux tiennent à leur part de liberté. Enfin, ils sont toujours aussi amourachés de l'autre au point où la phrase "Y a des chambres pour faire ça" est sorti plus d'une fois d'entre mes lèvres, tout comme la grimace de dégoût qui va avec. Tout cela pour dire que j'ai les deux noms de mes parents, Matheson de mon père et Landers de ma petite maman. PRÉNOM(S) → Le premier, c'est Haden, le seul prénom sur lequel mes parents arrivaient à se mettre d'accord. Faire ce choix à créer pas mal de dispute, mais aussi une cicatrice sur le crâne de mon père, à cause de ma mère qui pour protester à choisis de lui balancer un vase dans la figure. Pour ce qui est de Tyler, c'est le prénom de mon arrière-grand-père paternel.AGE → J'ai vingt-quatre ans depuis maintenant un petit moment. DATE & LIEU DE NAISSANCE →Je suis née le 14 mais 1990 à Albuquerque au Nouveau-Mexique. NATIONALITÉ & ORIGINE → Je suis de nationalité américaine, bien que je n'ai pas souvent mis les pieds là-bas. Pour mieux comprendre, mes parents sont des hippies qui vivaient sur les routes, voyageant de ville en ville, de pays en pays. Pour eux, c'était le meilleur moyen d'enseignement pour leurs enfants, mais ce n'était pas au goût de ma conseillère qui suivait de très près mon dossier et mes cours de correspondance. Pour ce qui est de mes origines, elles sont anglais, écossaise et un brin espagnole. ARRIVEE SUR L'ÎLE → J'y suis depuis maintenant quatre ans, pour être plus précis depuis mon entrée dans l'armée, mais je connais l'île bien avant, quand ma famille s'est installée à Recife, il y a six ans maintenant. STATUT CIVIL→ Je suis célibataire, faut dire que je n'ai pas vraiment le temps de courir après les filles avec mon métier.vORIENTATION SEXUELLE → Je suis hétéro, vous savez boobs, corps de déesse et tout ça, tout ça. ÉTUDES / MÉTIERS → Je suis officier militaire, enfin sous-officier pour être plus précis, spécialiser dans la communication. Je parle quatre langues: l'anglais, le portugais, l'espagnol et le français CREDIT → tumblr



Ta première cuite, c'était comment ? : J'ai fini à l'hôpital avec un bras cassé. C'était durant la fête du vingt et unième anniversaire de ma soeur et l'ado crétin que j'étais à ce moment-là, ne voyait rien de mieux à faire que d'essayer tous les genres d'alcool proposés. Ma soeur venait souvent me voir pour me dire d'y aller mollo et de pas trop en faire. Sauf que quand on dit cela à un adolescent, c'est comme proposer de faire l'inverse. Au beau milieu de la soirée, je me suis mis à danser sur la table en bois de la terrasse, tout en chantant en coeur les chansons. Pour avoir une meilleure image, imaginer un crétin avec une bouteille de Jack Daniels dans la main en chantant "I believe I can fly". La pauvre table n'a pas su tenir très longtemps avec ma danse constituer principalement de sauts et de coups de pied. Elle m'envoya valser dans les airs avant que je ne me ramasse la tête la première sur le sol de la terrasse. À ce qui parait, j'ai aussi tenté d'embrasser sur les lèvres toutes les copines de ma soeur, mais j'ai obtenu plus de râteaux que de baisers.

Tu t'es vu quand t'as bu ? : Si je bois un certain type de cocktail, la margarita si je ne me trompe pas, je passe toute la soirée à draguer mon reflet dans un miroir. Alors oui, oui je me suis vu quand je bois et ce n'est pas beau du tout! J'ai l'air d'un gars pas net et je fais un truc bizarre avec mon sourcil droit. Par contre, si je suis saoul à cause d'un trop-plein de whisky, je deviens bizarrement poète et je drague toutes les femmes en disant à quel point elles sont magnifiques et que leurs beautés méritent d'être immortalisées sur une peinture.

C'est quoi la pire chose que tu as faite bourré? : Je me suis pris pour un chanteur hors pair dans un bar karaoké. J'ai chanté tous les titres disponibles d'Alanis Morissette, cela allait de "You ought to know" à "I'm a bitch". Le pire de tout, j'étais tellement à fond dans ma prestation, que je n'ai pas vu ma grande-soeur et nos amis en commun filmer la scène...la vidéo est passée entre toutes les mains de mes potes, mais aussi de ma famille. Il a fallut un mois entier pour que ma sœur arrête de chanter "I'm a bitch" à chaque fois qu'elle me voyait.

Tu es accro à quoi? :Je suis un homme alors, vous pensez quoi ? J'évacue la pression en utilisant les meilleurs moyens. D'abord, par le sport, étant militaire, je fais du sport toute la semaine, même pendant mes jours de repos. Je débute toujours par une cinquantaine de pompes le matin, histoire de bien commencer la journée. Ensuite, il y a le sexe, parce qu'il y a toujours des petites tentions que le sport n'efface pas et qu'il n'y a rien de mieux qu'une nuit dans les draps d'une inconnue pour faire évacuer le stress et la nervosité.

Infos et caractère : Tout le monde dit que je tiens plus de ma mère que de mon père, que j'ai hérité de sa patience, mais aussi le don de faire les choses au dernier moment. Qu'est-ce que je peux dire, à part qu'ils ont raison ? C'est vrai, je peux attendre des heures dans une salle d'attente sans péter un câble, tout comme je suis du genre à faire mes valises au dernier moment et de ce fait, oublier la moitié de mes affaires. Vivre sur les routes m'a apporté beaucoup de choses que je n'aurais jamais gagnées en vivant une vie normale. Je suis devenue indépendant très tôt, apprenant à me débrouiller par moi-même au lieu de courir sous les jupes de ma mère devant chaque problème. Voir les quatre coins de la terre m'a permis de voir tellement de choses, cela a ouvert ma curiosité, au point où, j'adore observer tout ce qui m'entoure, c'est un moyen de qui me permet de voir l'importance de la vie et de voir à quel point le temps peut passer vite. Je suis très proche de ma famille, nous ne sommes pas très nombreux et je crois que c'est cela qui fait qu'on s'est toujours serré les coudes. Prenez comme exemple, le moment où ma soeur à quitter son fiancé, tout le monde était là pour elle et moi le premier, lui rappelant toutes les conneries qu'on avait pu faire pour lui faire oublier son abruti d'ex ne serait-ce qu'un instant. Je crois que cela fait de moi quelqu'un de bien, quelqu'un sur qui on peut toujours compter, quand une personne a besoin de parler. L'armée à renforcer mon caractère, dès ma première année, j'étais devenu bien plus courageux qu'avant et surtout encore plus confiant. Je crois que ces deux qualités sont essentielles, quand on veut devenir soldat. Ne pas avoir peur, avancer même si le chemin est criblé d'embûches. Je suis un très bon amant ! Ce n'est pas moi qui le dit, mais les femmes avec qui, j'ai eu des relations. Étant plus que borné, je donne toujours tout, jusqu'à ce que j'ai ce que je souhaite. J'ai le don pour me mettre dans de drôle de situation, tout comme pour faire des conneries, sans le vouloir. Exibit A: La fois où j'ai voulu cuisiner le petit-déjeuner pour mon ex et que j'ai cramé les gants de cuisine, en les posant bien trop près de la gazinière. Mon intention était bonne, mais le résultat était horrible. Je fais partie de l'un des stéréotypes sur l'homme, je deviens très jaloux et possessif, quand un homme s'approche de ma petite amie ou de ma conquête du soir. Ça finit jamais bien si l'autre ne recule pas. Quand je suis complètement surpris, j'ai tendance à me mettre sur stop, arrêtant d'un coup tous mouvements, à part le clignement de mes yeux, qui devient répétitif, jusqu'à que l'information donnée soit transmise complètement à mon cerveau. Je suis légèrement superstitieux alors à chaque fois que je vais au restaurant, j'ai cette manie de prendre le sel et d'en balancer une pincé derrière mon épaule gauche. Bien entendu, je fais attention qu'il n'y ait personne dernière moi. J'ai une cicatrice dans le dos dû à un morceau de verre qui s'était planté dans mon omoplate, en tombant en arrière sur un vase.




Olààà ! Alors, moi mon petit prénom c’est Indie, dans le monde du net je suis plus connu sous WILD BIRD. Je suis sûre que vous êtes plus âgés que moi, car moi ça fait 300 ans que je squatte la terre, ouais je sais, je suis vieille. Mon personnage sort tout droit de ma tête en partenariat avec lkd, j’ai découvert BOI grâce la fonda. Je serais là tout le temps pour faire vivre blame on it, que je trouve tout simplement awesome.



Code:
<span class="code1"><span class="codep">nom de la célébrité</span> ☆ nom du personnage</span>





Out there's a land that time don't command. Wanna be the first to arrive


Culiacan, Mexique
Cela faisait une semaine que nous nous étions installés dans cette ville, bien que notre premier voyage au Mexique remontait à quelques années, mais j'étais bien trop jeune pour me souvenir de notre escapade à Leon. C'était l'été, je m'en souvenais parce que le soleil était très fort et que maman ne faisait que de nous crier de mettre de la crème solaire et nos chapeaux sur nos têtes. Ma sœur et moi, on passait notre temps à la plage, on construisait des châteaux de sable avant de se prendre pour deux gros godzilla détruisant la ville sur leur passage. Nous faisions que de rigoler, au point où je pouvais encore entendre nos rires d'enfant dans ma tête. C'était ma mère qui prenait soin de nous, pendant que papa faisait des petits boulots pour nous payer le plein d'essence pour notre prochaine destination encore inconnue. Cette vie était la seule que j'avais connue, comparée à ma sœur qui avait goûté à la vie normale, vous savez, un vrai toit sur la tête, une vraie chambre, une grande salle de bains. Elle était née bien avant que mes parents ne se décident de réaliser leur rêve commun. Je n'avais jamais vraiment eu la chance d'avoir des amis stables, le genre qu'on a avec nous pendant toute notre vie, c'est pour ça que ma sœur était tout pour moi, ma confidente, ma meilleure amie, celle avec qui je passais le plus clair de mon temps. Nayana était comme moi, elle me comprenait et cherchait toujours ma compagnie.

Nous étions en train de construit une toute nouvelle ville toute droit sortie de nos imaginations, chacun faisait son propre côté, construisant pâtés de sable sur pâté de sable, pour faire de grands immeubles, quand une vague apporta jusqu'à nos pieds une méduse. « C'est quoi ? » Demandais-je, tout en m'approchant un peu plus près. J'avais attrapé un long bout de bois et commençais à renter le bout dans la chose toute visqueuse. « Haden, arrête avec ton bâton, tu dois lui faire mal. » Bien entendu, je n'étais pas trop du genre à écouter ma soeur et continuais mon petit jeu avant qu'elle ne prenne le bout de bois et me tape les fesses avec. « Je vais le dire à maman ! » M'exclamais-je, tout en me frottant le popotin. Comme toute réponse, ma sœur me fit une grimace avant de s'accroupir pour voir la bête de plus prêt. Je fis la même chose, approchant le bout de mon index pour continuer mon petit jeu. Nous étions tellement concentrés sur la méduse, que nous n'avions pas vu venir une autre vague bien plus grande que la deuxième, elle passa sur nos pieds, montant même jusqu'à nos chevilles. Et au moment de redescendre dans l'océan, le mouvement de l'eau fit avancer la bestiole jusqu'à mon pied. Je me souviens encore du crie que j'avais poussé alors que la méduse me brulait la peau, tellement strident qu'on aurait dit une fille, enfin, j'avais tout de même cinq ans ! Ma soeur était venue à mon secours, déplaçant d'un geste rapide la bête avec mon bâton. Je pleurais toutes les larmes de mon corps, tout en tenant mon pauvre petit pied dans mes mains. « Faut que je te fasse pipi dessus ! Tu auras plus mal ! J'ai vu ça à la télé ! » Lança ma soeur tout en s'approchant de moi avec l'intention de se soulager la vessie pour me guérir. Horrifié à cette idée, je m'étais levé avant de courir dans les jupes de ma mère tout en criant « Maman !! Nayana, elle veut me faire pipi dessus ! ».

Je n'avais révélé à personne cette anecdote, faisant jurer à ma soeur de ne jamais en parler à personne. J'avais peur qu'un jour, elle vienne me voir en m'annonçant de sa voix moqueuse « Tu te souviens de la fois où tu t'es fait piquer par une méduse ? ». J'en faisais des cauchemars.


Toronto, Canada
Dans notre caravane, nous avions une carte du monde sur laquelle étaient accrochés des tonnes d'épingles, qui montraient les villes visitées. Tout autour, il y avait les cartes postales qui allaient avec et sur chacune d'entre elles étaient écrit un souvenir bien précis de moment passé là-bas. C'était un rituel avec ma soeur, une façon de se remémorer tous les moments que nous avions passés sur les routes. Je m'étais souvent demandé à quoi ma vie aurait ressemblé, si mes parents n'avaient jamais réalisé leur souhait. S'ils étaient restés en Amérique à travailler tout en élevant leurs deux enfants, à vivre dans une maison de banlieue entourée de voisins. J'aurais sûrement eu plus d'amis, j'aurais connu les joies d'avoir une copine plus tôt. Mais soyons honnêtes, les amis ça va, ça vient, on en perd, on s'en fait des nouveaux, qu'on perdra par la suite à cause de stupides disputes ou de l'université. Cela nous arrivait à Nayana et moi de se faire des amis, quand nos parents prenaient place dans des airs payants réservés aux caravanes. Certes, nous savions que nous ne serions plus là dans deux semaines maximum, mais on en profitait pleinement, se liant rapidement d'amitié avec les gosses de nos voisins, comme à Toronto. Mais cette fois, c'était différent, car à l'âge de quinze ans, j'avais enfin ma première petite amie. Nous nous étions rencontrés le premier jour de mon arrivée, à peine avais-je posé mes yeux sur elle, que mon coeur avait raté un battement avant de battre dans un rythme endiabler. Son prénom, Enara.

Je ne pouvais m'empêcher de la regarder alors qu'elle avançait dans la petite allée qui séparait deux rangées de caravane. Ce soir était une soirée barbecue et tous les voisins étaient invités à l'occasion. À croire que mes parents aussi n'était pas contre se faire des nouveaux amis. « Arrête de la mater et va lui parler, idiot ! » S'exclama Nayana, tout en me poussant à faire un pas en sa direction. Les mains enfoncées dans les poches de mon jean, j'avais faite le reste de la distance qui nous séparait. J'étais nerveux, mes mains n'avaient jamais été aussi moites, mais il fallait que je prenne mon courage à deux mains. Je l'avais emmené sur un banc un peu plus loin de la foule et des regards curieux, après tout, j'allais lui dire qu'elle m'attirait beaucoup et je ne voulais aucun témoin de ce qui allait à mes yeux être un désastre. « Il y a quelque chose que tu veux me dire, Haden ? » Demanda-t-elle de sa voix douve. J'hochais rapidement de la tête avant de passer ma main dans ma chevelure. Je ne savais pas du tout par quoi commencer, mais je ne pouvais pas rater cette opportunité. « Je voulais que tu saches que durant cette première semaine, j'ai vraiment apprécié passer du temps avec toi. J'ai rarement la chance d'apprendre à connaitre des gens aussi rapidement. Enfin tout cela pour te dire que....je... » Je balbutiais, essayant de forcer ma langue à former un mot qui m'était si difficile de dire. Et puis par surprise, Enara posa ses lèvres tout contre les miennes. C'était comme si d'un coup, toute ma nervosité, c'était envolé.


Notre relation dura une semaine et demie, j'avais réussi à supplier mes parents de me laisser un peu plus de temps et grâce à ma soeur, nous étions arrivés à les faire plier à notre volonté (pour une fois !). Le jour de mon départ a été horrible, je me souviens encore de la silhouette d'Enara rétrécissant au fur et à mesure que la caravane s'en allait au loin.


Recife, Brésil
Je ne sais pas vraiment pourquoi mes parents ont pris la décision de nous installer pendant quelque temps. Peut-être parce qu'il en avait marre de conduire ou que dormir dans un vrai lit et pas dans la même pièce que leur enfant leur manquaient. Ou alors, ils avaient tellement apprécié Recife que l'idée d'y emménager leur avaient paru une merveilleuse idée. J'avais dix-sept ans à ce moment-là et je goutais aux joies d'avoir ma propre salle de bains, ma propre intimité. La langue n'était pas un problème, car avec le temps et nos voyages, toute la famille parlait portugais ainsi que d'autres langages. J'avais arrêté les cours par correspondance, entrant dans un vrai lycée pour la première fois. J'avais l'impression de mettre les pieds dans une jungle, surtout que cette fois, j'étais seule avec ma sœur partie à l'université. Au début, je passais pour un alien avec mon histoire, mais les gens ont vite appris à me connaitre et au bout de quelques semaines, je m'étais adapté à ce nouvel habitat. J'avais des amis que je voyais presque tous les jours de la semaine et je rattrapais tout ce que j'avais pu manquer, comme par exemple les jeux vidéos ou les dernières nouveautés sur internet. Mais qui dit dernière année de lycée, dit avenir et métier, sauf que moi du haut de mes dix-sept ans, j'en avais aucune idée. J'aimais être à l'extérieur et l'idée de passer mes journées derrière un écran d'ordinateur ne me plaisait guerre. Et puis, il y a eu la journée des métiers et ce jour-là, j'ai trouvé ma voie.


Il y avait une vidéo qui passait en boucle au stand de l'armée et je faisais que de la regarder encore et encore, alors qu'elle montrait de courtes vidéos de ce qu' être soldat voulait dire. Il y avait un homme qui sortait du lot des militaires, il semblait tellement fort et sûr de lui-même, tellement courageux et sans peur. Sa vie était sur le terrain et non pas dans un bâtiment, il se battait pour son pays, pour quelque chose en quoi il croyait. Cet à ce moment-là que j'ai su. « Je veux devenir soldat. » Soufflais-je tout en revenant dans la réalité. « Ce n'est pas trop tôt petit, ça fait au moins quinze minutes que t'es scotché devant cette télé. » Rétorqua l'officier derrière le stand.

Bien entendu, j'en surpris plus d'un avec mon choix, surtout mes parents, mais ils ont vite accepté ce choix. Après tout, l'armée m'offrait de payer mes études, si je signais dès à présent un contrat avec eux et je savais que mes parents avaient déjà du mal à payer les études de Nayana.

Fernando De Noronha, Brésil
Et donc, à la fin de mes études, je me présentais à l'armée comme prévu. J'étais toujours aussi motivé à l'idée de devenir soldat, surtout que je m'étais entrainé durant mes trois années à l'université. J'avais pris du muscle, changeant mon image d'ado gringalet en un fier et fort jeune homme, bon d'un côté j'avais vingt et un ans, il fallait bien que je change, que j'évolue. Du fait que j'étais américain, on m'envoya à la base militaire de Fernando De Noronha. Il me fallut trouver un appartement, mais étant donné que je ne gagnais pas des masses en étant que sous-officier, j'ai dû prendre un colocataire. Enfin, une colocataire... Je n'avais pas d'autre choix vu que le seul autre intéressé était un homme d'une quarantaine d'années à la personnalité plus que douteuse. Sauf que j'en étais venu à me dire que j'avais peut-être fait un mauvais choix, car ma colocataire qui répondait au nom de Sinead, n'était pas aussi douce que son prénom. Bien entendu, l'idée de lui demander de déménager m'avait traversé la tête plus d'une fois, mais j'avouais que de partager les factures, me permettait de vivre convenablement. Et puis, avec mon travail, je n'étais pas souvent à la maison à part durant mes jours de repos.
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Haden maaaa

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